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05-65793

Paris

"L'URSS n'est plus. Pourtant, son histoire nous concerne toujours, aujourd'hui plus que jamais. Une histoire longtemps impossible à écrire, non seulement faute de documents fiables, mais aussi parce qu'elle a été au cœur d'affrontements idéologiques qui, entre réquisitoire et apologie, ont largement contribué à occulter les soixante-quinze années qu'a duré le régime soviétique.
Il y a peu, l'ouverture des archives a de nouveau rendu
possible cette entreprise. Dans Le Siècle soviétique, Moshe Lewin s'attache à cerner ces années dans toute leur complexité. Multipliant les éclairages – démographie, économie, travail,
culture, camps et répression –, il nous conduit dans les
« entrailles » d'un système encore largement méconnu et bouscule les idées reçues sur les dirigeants, le parti-Etat ou encore la bureaucratie, pieuvre tentaculaire qui détenait le véritable
pouvoir.
Histoire sociale de l'URSS, Le Siècle soviétique montre que, même aux pires heures de la dictature stalinienne, la société a conservé, par de multiples biais, une certaine autonomie. Profondément rurale au début de la période, elle a aussi connu de gigantesques bouleversements, devenant en quelques
décennies une société moderne à dominante urbaine.
Aux antipodes d'une histoire linéaire, ce livre permet de prendre toute la mesure des continuités et des ruptures qui mènent, à travers un cheminement complexe, de la révolution fondatrice d'octobre 1917 à l'implosion finale, en passant par la dictature stalinienne et les impossibles réformes des années khrouchtchéviennes.
Né en 1921, Moshe Lewin a été, entre 1978 et 2000, professeur d'histoire à l'université de Pennsylvanie (Etats-Unis). Parmi ses ouvrages traduits en français : Le Dernier Combat de Lénine (Minuit, 1967), La Formation du système soviétique (Gallimard, 1987).
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Denis Paillard et Florence Prudhomme."
"L'URSS n'est plus. Pourtant, son histoire nous concerne toujours, aujourd'hui plus que jamais. Une histoire longtemps impossible à écrire, non seulement faute de documents fiables, mais aussi parce qu'elle a été au cœur d'affrontements idéologiques qui, entre réquisitoire et apologie, ont largement contribué à occulter les soixante-quinze années qu'a duré le régime soviétique.
Il y a peu, l'ouverture des archives a de nouveau rendu
possible ...

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14.05-65531

Venezia

"Nel xx secolo fili spinati hanno marcato l'odio per l'Altro, preludio a stermini di massa, mentre l'ingegneria sociale si è incaricata di sterilizzare i "diversi". Hanno iniziato gli inglesi in Sud Africa nel 1901-1902 con la segregazione di 120.000 boeri. Pochi anni dopo negli usa si legalizza la sterilizzazione di handicappati e malati di mente. In Russia, nel 1923, Lenin attiva la prima isola del famigerato Arcipelago Gulag poi diventato, con Stalin, strumento di una sanguinaria politica repressiva. Tra il 1934 e il 1976 le socialdemocrazie scandinave sterilizzano 106.000 "diversi" - di cui il 90% donne - per contenere i costi del Welfare State. Nel 1939 Hitler avvia l'eliminazione dei malati ereditari uccidendo 5.000 bambini e 71.000 adulti e dà inizio allo sterminio di oltre 6.000.000 di ebrei e di 500.000 zingari.Negli anni cinquanta Mao trasforma il popolo in "arma suprema" della sua dittatura. In Sud Africa nel dopoguerra i bianchi segregano i neri con una liberticida legislazione razziale. Negli anni settanta i Khmer rossi di Pol Pot disintegrano la Cambogia facendo morire 1.860.000 persone: il 25% della popolazione.

Gli anni novanta si aprono con la pulizia etnica nell'ex Jugoslavia imitata, nel 1994, dal Ruanda con lo sterminio di 800.000 persone di etnia Tutsi. Ora, alla fine del xx secolo, frughiamo tra queste immani rovine di una umanità vilipesa nella sua dignità; questo libro, nel suo rigore storiografico, è al tempo stesso un documento e una denuncia.

Gianni Moriani insegna presso il Centro Internazionale di Studi Ambientali del Pontificio Ateneo Antonianum di Roma. E' autore di Pianificazione e tecnica di un genocidio, Padova 1996; Storia della salute dei lavoratori (con Franco Carnevale), Verona 1986; ha curato l'edizione italiana de Il giorno dopo. Gli effetti della guerra nucleare, Milano 1984. È membro del consiglio di redazione delle riviste "Epidemiologia & Prevenzione" e "Problemi in psichiatria"."
"Nel xx secolo fili spinati hanno marcato l'odio per l'Altro, preludio a stermini di massa, mentre l'ingegneria sociale si è incaricata di sterilizzare i "diversi". Hanno iniziato gli inglesi in Sud Africa nel 1901-1902 con la segregazione di 120.000 boeri. Pochi anni dopo negli usa si legalizza la sterilizzazione di handicappati e malati di mente. In Russia, nel 1923, Lenin attiva la prima isola del famigerato Arcipelago Gulag poi diventato, ...

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03.01-64252

Arles

"Armée d'un magnétophone et d'un stylo, Svetlana Alexievitch, avec une acuité, une attention et une fidélité uniques, s'acharne à garder vivante la mémoire de cette tragédie qu'a été l'URSS, à raconter la petite histoire d'une grande utopie. "Le communisme avait un projet insensé : transformer l'homme ancien le vieil Adam. Et cela a marché. En soixante-dix ans et quelques, on a créé dans le laboratoire du marxisme-léninisme un type d'homme particulier, l'Homo sovieticus." C'est lui qu'elle a étudié depuis son premier livre, publié en 1985, cet homme rouge condamné à disparaître avec l'implosion de l'Union soviétique qui ne fut suivie d'aucun procès de Nuremberg malgré les millions de morts du régime. Dans ce magnifique requiem, l'auteur de La Supplication réinvente une forme littéraire polyphonique singulière, qui fait résonner les voix de centaines de témoins brisés. Des humiliés et des offensés, des gens bien, d'autres moins bien, des mères déportées avec leurs enfants, des staliniens impénitents malgré le Goulag, des enthousiastes de la perestroïka ahuris devant le capitalisme triomphant et, aujourd'hui, des citoyens résistant à l'instauration de nouvelles dictatures. Sa méthode : "Je pose des questions non sur le socialisme, mais sur l'amour, la jalousie, l'enfance, la vieillesse. Sur la musique, les danses, les coupes de cheveux. Sur les milliers de détails d'une vie qui a disparu. C'est la seule façon d'insérer la catastrophe dans un cadre familier et d'essayer de raconter quelque chose. De deviner quelque chose... L'histoire ne s'intéresse qu'aux faits, les émotions, elles, restent toujours en marge. Ce n'est pas l'usage de les laisser entrer dans l'histoire. Moi, je regarde le monde avec les yeux d'une littéraire et non d'une historienne." A la fin subsiste cette interrogation lancinante : pourquoi un tel malheur ? Le malheur russe ? Impossible de se départir de cette impression que ce pays a été "l'enfer d'une autre planète"."
"Armée d'un magnétophone et d'un stylo, Svetlana Alexievitch, avec une acuité, une attention et une fidélité uniques, s'acharne à garder vivante la mémoire de cette tragédie qu'a été l'URSS, à raconter la petite histoire d'une grande utopie. "Le communisme avait un projet insensé : transformer l'homme ancien le vieil Adam. Et cela a marché. En soixante-dix ans et quelques, on a créé dans le laboratoire du marxisme-léninisme un type d'homme ...

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05-64009

Paris

"Début juin 1962, la ville soviétique de Novotcherkassk s'embrase comme jamais dans son histoire. Pendant trois jours, des personnes qui ne se connaissaient pas occupent les rues, s'emparent des principaux lieux du pouvoir, réclament à voix haute le droit de vivre mieux, dignement, justement. D'autres phénomènes comparables - connus, comme l'insurrection des marins de Kronstadt en mars 1921, ou moins fameux, comme les grèves à répétition des années 1920 ou la prise de pouvoir par les détenus des camps de Kenguir en 1954 - crèvent à intervalles réguliers la surface, lisse en apparence, de la société soviétique. Écrire l'histoire sociale de l'URSS, c'est écrire une histoire de dictature et de résistance, d'endurance et d'accommodement, d'adhésion et d'hésitation. Patriotisme, croyance à l'idéologie ou foi en la religion, opportunisme politique ou sacrifice pour la collectivité, religion, cinéma, littérature, éducation ou endoctrinement, vie quotidienne et standards de vie, mythe de la révolution prolétarienne et patrimoine du legs russe, terreur et Grande Guerre - tout dans cet ouvrage sans pareil est analysé afin de déterminer, autant que possible, dans l'interaction constante entre un régime et une société, des points d'équilibre, des lignes de compromis, des stratégies collectives et individuelles contradictoires."
"Début juin 1962, la ville soviétique de Novotcherkassk s'embrase comme jamais dans son histoire. Pendant trois jours, des personnes qui ne se connaissaient pas occupent les rues, s'emparent des principaux lieux du pouvoir, réclament à voix haute le droit de vivre mieux, dignement, justement. D'autres phénomènes comparables - connus, comme l'insurrection des marins de Kronstadt en mars 1921, ou moins fameux, comme les grèves à répétition des ...

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British Journal of Industrial Relations - vol. 50 n° 2 -

"This article analyses management–union–worker relations in a foreign-owned Moldovan clothing factory. Studies of post-socialist industrial relations have focused on explaining labour quiescence, advancing ‘path dependence' and ‘Soviet legacy' arguments. These draw attention to strong links between management and unions, and weak relations between the latter and workers. We show how the union has, in one case, drawn creatively on Soviet legacies to develop strong articulation between itself and women workers. This was part of a wider adaptive strategy within which the union transformed the meaning of previous functions and developed novel ones. The outcome is a well-organized representative union capable of challenging management at the negotiating table, as well as on the shop floor. This seems unlikely to be universal but equally unlikely to be unique."
"This article analyses management–union–worker relations in a foreign-owned Moldovan clothing factory. Studies of post-socialist industrial relations have focused on explaining labour quiescence, advancing ‘path dependence' and ‘Soviet legacy' arguments. These draw attention to strong links between management and unions, and weak relations between the latter and workers. We show how the union has, in one case, drawn creatively on Soviet legacies ...

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