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04.04-65219

Marseille

"À Bruxelles, loin des ONG, les lobbies patronaux préfèrent le huis-clos avec les bureaucrates pour faire progresser leurs affaires.

Pour un lobbyiste, connaître des bureaucrates plus ou moins personnellement permet de savoir quand il est encore utile de pousser une position et quand, à l'inverse, il ne sert à rien de se montrer insistant : « En fait, le Parlement européen, si tu veux faire une analogie, c'est comme si tu avais une table de poker ; et à cette table de poker-là, les gens doivent montrer leur jeu. Au Parlement, tu dois montrer ton jeu. Donc les libéraux c'est ça, la droite c'est ça et les socialistes c'est ça. Tu lis les amendements, tu vois d'où ça vient. Et le type de la Commission qui bosse là-dessus depuis deux ans à fond, il voit tout de suite dans le style de la rédaction, dans l'idée qui est poussée, comment ça a été amené et à quelle industrie il a affaire. »

À partir d'archives inédites et d'observations réalisées auprès des lobbys patronaux, ce livre analyse les relations qu'entretiennent les représentants des intérêts économiques avec les agents de la Commission européenne.

Pour parvenir à leurs fins, les lobbyistes doivent se fondre dans les logiques de productivité de l'administration communautaire : les plus grandes firmes apprennent ainsi à manier le jargon des technocrates pour maintenir leur position, et enrôlent des experts scientifiques pour répondre aux attentes pratiques de tel ou tel chef de bureau. Et les liens intimes qu'entretient le capitalisme avec la bureaucratie se voient quotidiennement réactualisés."
"À Bruxelles, loin des ONG, les lobbies patronaux préfèrent le huis-clos avec les bureaucrates pour faire progresser leurs affaires.

Pour un lobbyiste, connaître des bureaucrates plus ou moins personnellement permet de savoir quand il est encore utile de pousser une position et quand, à l'inverse, il ne sert à rien de se montrer insistant : « En fait, le Parlement européen, si tu veux faire une analogie, c'est comme si tu avais une table de ...

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03.01-66220

Aldershot

This book focuses on the role of the state in promoting a country's long-term technological progress and industrial leadership. Throughout history, a nation's rise to dominance has invariably been followed by its fall; the dominant powers of today are not the same ones that controlled the world three hundred years ago. In the same manner, economic dominance has usually been fleeting, as leading nations have routinely been caught up and surpassed by challengers. This study looks at Schumpeterian growth - currently the most important source of economic growth - which credits the ability to use technological progress for the benefit of industrial leadership as the key motor of national development and economic success. Contrasting the experiences of five great powers (Britain, France, Germany, the USA and Japan) during five periods of technological and industrial leadership, from the Industrial Revolution to the beginning of the twenty-first century, the book draws on historical and comparative methods to draw causal inferences about international progress and leadership. It explores various factors that promote or hinder technological advancement and how these can in turn effect national development. It concludes that where states have forged ahead and maintained a lead over their rivals, it is because consensus and cohesion prevented vested interests from growing powerful enough to block structural economic change. By applying economic theory to long-term historical models, this book offers a fascinating perspective on the causes and effects of national growth and industrial leadership. It will be invaluable reading for anyone with an interest in international relations and global economic trends, both modern and historical.
This book focuses on the role of the state in promoting a country's long-term technological progress and industrial leadership. Throughout history, a nation's rise to dominance has invariably been followed by its fall; the dominant powers of today are not the same ones that controlled the world three hundred years ago. In the same manner, economic dominance has usually been fleeting, as leading nations have routinely been caught up and surpassed ...

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12.06-67795

Montreuil

"Nous sommes entrés dans l'ère de la Technopoly. Soit une société dans laquelle la culture est entièrement soumise aux impératifs technologiques. Tout doit y être mesuré, évalué avec le plus haut degré de précision, converti sous forme de données quantifiables et objectives, pour permettre à des machines ou à des experts d'assurer, pour notre plus grand bonheur, la gestion de nos vies. Bien que l'information n'ait jamais été aussi facile d'accès et présente en telle quantité, nous sommes désemparés, incapables d'appréhender un monde devenu d'une grande complexité. D'autant que les institutions sociales (l'école, la famille, les organisations politiques…) et les valeurs au fondement de la culture humaniste – qui structuraient jusqu'alors nos existences tout en favorisant le développement de notre autonomie et de notre faculté de jugement – ont rendu les armes face au monopole de la technique. Les réflexions développées dans ce livre retentissant de Neil Postman, publié pour la première fois aux États-Unis en 1992, n'ont rien perdu de leur actualité. Bien au contraire, elles révèlent avec une rare lucidité les fondements des mutations profondes qui n'ont fait que s'accélérer depuis. En remontant aux origines de la science moderne et de l'idéologie du progrès, l'auteur dresse un constat sans appel : la soumission de la culture à la technique menace à terme de détruire les sources vitales de notre humanité."
"Nous sommes entrés dans l'ère de la Technopoly. Soit une société dans laquelle la culture est entièrement soumise aux impératifs technologiques. Tout doit y être mesuré, évalué avec le plus haut degré de précision, converti sous forme de données quantifiables et objectives, pour permettre à des machines ou à des experts d'assurer, pour notre plus grand bonheur, la gestion de nos vies. Bien que l'information n'ait jamais été aussi facile d'accès ...

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