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Documents Simonet, Maud 3 results

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13.01.3-67499

Paris

"Qu'y a-t-il de commun entre une bénévole chargée des activités périscolaires dans une école, une allocataire de l'aide sociale qui nettoie les parcs de New York ou le rédacteur d'un blog en ligne ? Des milliers d'heures de travail exercées gratuitement pour faire fonctionner associations. services publics et entreprises. Que nous apprennent ces différentes formes "citoyennes" et "numériques" de travail gratuit ? A qui profitent-elles et qui y est assigné? En repartant des grandes leçons de l'analyse féministe du travail domestique, et en se fondant sur plusieurs enquêtes de terrain menées en France et aux Etats-Unis, Maud Simonet propose une approche critique du travail par sa face gratuite. Elle analyse ces formes d'exploitation qui se développent au nom de l'amour. de la passion ou de la citoyenneté et participent à la néolibéralisation du travail dans les mondes publics et privés."
"Qu'y a-t-il de commun entre une bénévole chargée des activités périscolaires dans une école, une allocataire de l'aide sociale qui nettoie les parcs de New York ou le rédacteur d'un blog en ligne ? Des milliers d'heures de travail exercées gratuitement pour faire fonctionner associations. services publics et entreprises. Que nous apprennent ces différentes formes "citoyennes" et "numériques" de travail gratuit ? A qui profitent-elles et qui y ...

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Economie Politique - n° 92 -

"Le travail gratuit n'a pas attendu le Covid-19 pour être mis à contribution par les politiques publiques, comme le montrent les stages ou le service civique. Le travail domestique, théorisé par les féministes dans les années 1970, constitue une matrice très efficace pour penser ces questions. Entretien avec la sociologue Maud Simonet, spécialiste du travail gratuit..."

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Santé conjuguée - n° 105 -

"À travers le monde, malgré les conquêtes du mouvement féministe – accès au marché de l'emploi, diminution des écarts salariaux dans certaines contrées… – des femmes travaillent encore dans de moins bonnes conditions que les hommes et gagnent de moindres rémunérations. Elles sont davantage employées à temps partiel, souvent involontaire, et de plus en plus exposées à des horaires de travail atypiques : travail de nuit, le dimanche, horaires irréguliers.
Surreprésentées dans les métiers dévalorisés tels que celui du care, les femmes continuent d'assurer la majeure partie du travail non rémunéré (travail domestique, d'éducation et de soin aux enfants, d'aide aux proches…). En outre, les risques professionnels qu'elles courent spécifiquement sont encore sous-estimés et donnent lieu à une moindre reconnaissance et un moindre dédommagement de leurs maladies professionnelles.
Dans le prolongement du dossier « Travailler… au péril de sa santé ? » paru en décembre 2022 dans Santé conjuguée, nous approchons dans cette étude la problématique de la santé au travail par le prisme du genre, indissociable des rapports de classe et de race qui structurent nos sociétés. À la lumière de l'expertise de chercheurs et chercheuses et d'acteurs et actrices de terrain, nous analysons les processus d'invisibilisation qui continuent de façonner le champ du travail et plus particulièrement celui du travail des femmes.
Dans ce dossier, la généticienne et ergonome Karen Messing (Université du Québec à Montréal) appuie la nécessité d'intégrer une approche genrée dans la recherche sur la santé au travail, un constat enrichi à la lumière du contexte belge par Laurent Vogel, chercheur associé à l'Institut syndical européen (ETUI). La sociologue Maud Simonet (Université Paris Nanterre) et la socioéconomiste Florence Degavre (UCLouvain) rendent compte du travail invisible qui incombe très largement aux femmes à travers les notions clés de travail domestique et de care portées par les mouvements féministes et illustrées par les contributions d'Aurélie Leroy (Centre tricontinental) et d'Elisa Munoz Gomez (Médecine pour le peuple). Nous proposons ensuite un focus sur le tabou des menstruations et le travail prostitutionnel à travers les articles d'Eloïse Malcourant (Sofélia) et de Marinette Mormont (Fédération des maisons médicales). À partir de la rencontre d'une ancienne directrice d'une entreprise de titres-services et de permanents syndicaux agissant dans ce secteur et dans celui du travail domestique, nous éclairons les luttes actuelles qui visent à améliorer la santé et la sécurité au travail des femmes et à faire reconnaitre la pénibilité des emplois qu'elles exercent majoritairement."
"À travers le monde, malgré les conquêtes du mouvement féministe – accès au marché de l'emploi, diminution des écarts salariaux dans certaines contrées… – des femmes travaillent encore dans de moins bonnes conditions que les hommes et gagnent de moindres rémunérations. Elles sont davantage employées à temps partiel, souvent involontaire, et de plus en plus exposées à des horaires de travail atypiques : travail de nuit, le dimanche, horaires ...

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