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Documents Etiévant, Guillaume 4 results

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04.01-65306

Paris

"Le Medef rêve d'un salarié totalement flexible, soumis, sans protection. Ce rêve avance sous le masque souriant du «consensus» et du «dialogue social» entre «partenaires sociaux». Il convient de dévoiler ce subterfuge.

La négociation collective est et demeure une source indispensable, essentielle au droit du travail. Mais lorsqu'on prétend la substituer à la loi et aux grandes protections du droit du travail, ce n'est plus de dialogue mais de destruction qu'il s'agit.

Cette tendance à la vampirisation de la loi par la négociation collective a déjà permis que de nombreux salariés ne sachent même plus, d'une semaine sur l'autre, à quels horaires ils vont travailler.

Aujourd'hui, il est question de poursuivre, voire de parachever, ce mouvement et d'autoriser la destruction non plus seulement des rythmes de travail et de vie, mais la destruction par accord collectif de la représentation du personnel, du droit du licenciement, et finalement de l'ensemble du droit du travail.

Cette «Note de la Fondation Copernic» a pour objectif d'ébaucher les voies d'une contre-offensive et de redonner toute sa place au débat démocratique sur les droits des salariés."
"Le Medef rêve d'un salarié totalement flexible, soumis, sans protection. Ce rêve avance sous le masque souriant du «consensus» et du «dialogue social» entre «partenaires sociaux». Il convient de dévoiler ce subterfuge.

La négociation collective est et demeure une source indispensable, essentielle au droit du travail. Mais lorsqu'on prétend la substituer à la loi et aux grandes protections du droit du travail, ce n'est plus de dialogue mais de ...

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01.03.8-65141

Paris

"Dans la perspective des élections européennes, un appel indispensable à la réappropriation citoyenne d'une Europe à la dérive. L'Europe n'a pas la cote. Pour beaucoup d'européens, l'Union est devenue un monstre hostile, plus attentif à la finance qu'aux souffrances sociales. Même dans la gauche critique, certains dénoncent l'idéal européen comme une illusion dont il conviendrait de se défaire, pour transformer la société là où c'est encore possible, au niveau national. Pourtant, quel pays européen isolé pourrait durablement résister au capital mondialisé ? Où peser dans les négociations climatiques pour enrayer la catastrophe annoncée ? Les citoyens européens ont donc raison de demeurer attachés à l'idée d'un destin commun. Mais de "sommet de la dernière chance" en "accord historique" de façade, l'actuelle Union européenne s'achemine vers la dislocation. Il va falloir refonder le projet européen sur d'autres bases. Comment rompre avec cette Europe sans sacrifier l'idée européenne ? Comment s'appuyer sur des ruptures nationales (bientôt la Grèce ?) sans renforcer les replis nationalistes ? A partir d'une analyse fine des mouvements sociaux et des rapports de force européens, cet ouvrage explore une stratégie de la ligne de crête, en équilibre entre luttes nationales et européennes, entre ruptures par en haut et changements par en bas. Il faudra désobéir à l'Union européenne pour redonner sa chance à l'Europe. "
"Dans la perspective des élections européennes, un appel indispensable à la réappropriation citoyenne d'une Europe à la dérive. L'Europe n'a pas la cote. Pour beaucoup d'européens, l'Union est devenue un monstre hostile, plus attentif à la finance qu'aux souffrances sociales. Même dans la gauche critique, certains dénoncent l'idéal européen comme une illusion dont il conviendrait de se défaire, pour transformer la société là où c'est encore ...

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V

Le Droit ouvrier - n° 828 -

"Le numérique est présenté majoritairement dans le débat médiatique et politique comme une évolution positive de notre modèle économique, qui rendrait indispensable de diminuer les droits des salariés."

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Libération -

"Le droit du travail d'exception mis en place par le gouvernement pendant la crise sanitaire pénalise les salariés sans demander la moindre contrepartie aux employeurs."

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