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Documents Bigot, Régis 6 results

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Problèmes économiques - n° 3127 -

"Près d'un Français sur deux était, en 2014, inscrit sur un réseau social en ligne. Cela représente 58 % des internautes, soit 26 millions de personnes qui déclarent participer à des réseaux sociaux. Longtemps restés l'apanage des jeunes et des catégories aisées, ces réseaux sont désormais également très utilisés par les seniors et les catégories modestes. Les sexagénaires y sont même devenus plus présents et actifs que les personnes appartenant aux milieux sociaux les plus favorisés. Les études du Centre de recherche et d'observation des conditions de vie (CRÉDOC) montrent que les réseaux sociaux renouvellent les formes de sociabilité et favorisent des liens moins engageants que les liens traditionnels."
"Près d'un Français sur deux était, en 2014, inscrit sur un réseau social en ligne. Cela représente 58 % des internautes, soit 26 millions de personnes qui déclarent participer à des réseaux sociaux. Longtemps restés l'apanage des jeunes et des catégories aisées, ces réseaux sont désormais également très utilisés par les seniors et les catégories modestes. Les sexagénaires y sont même devenus plus présents et actifs que les personnes appartenant ...

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Paris

"En grande partie grâce à Internet, les pratiques collaboratives ne cessent de se développer : covoiturage, échange de services ou d'appartement entre particuliers, vente d'objets d'occasion, financement participatif, encyclopédie ou logiciel libre, les initiatives se multiplient. Internet permet la mise en relation de milliers, voire de millions d'individus aux intérêts convergents. Ils tendent à se passer des intermédiaires traditionnels, acteurs économiques ou institutionnels.

Sur la base d'une enquête spécifique auprès de la population et en s'appuyant sur l'observation de ces phénomènes en plein essor, le CRÉDOC a tenté, dans une recherche récente, de dégager

les contours de ces nouvelles formes de collaborations.

Sous le vernis participatif, de nombreux projets sont, en réalité, surtout animés par des motivations mercantiles. Parfois, les pratiques collaboratives s'accompagnent d'autres bénéfices : la préoccupation pour l'environnement, le désir de tisser des liens fondés sur le partage, le don et la confiance, ainsi que l'espoir de voir émerger une société où chaque individu serait davantage pris en considération, en rupture avec le modèle de l'hyperconsommation qui domine aujourd'hui. Une chose est sûre, ces pratiques sont caractérisées par la centralité des échanges entre pairs à grande échelle, ce qui constitue une rupture dans le schéma classique et linéaire de production-distribution-consommation."
"En grande partie grâce à Internet, les pratiques collaboratives ne cessent de se développer : covoiturage, échange de services ou d'appartement entre particuliers, vente d'objets d'occasion, financement participatif, encyclopédie ou logiciel libre, les initiatives se multiplient. Internet permet la mise en relation de milliers, voire de millions d'individus aux intérêts convergents. Ils tendent à se passer des intermédiaires traditionnels, ...

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Luxembourg

"In the context of economic and financial difficulties, the debate over the effect of income taxation and redistribution has come back in most of the European countries. In this paper, we use the LIS data to examine the impact of income redistribution on middle class households from a cross-country perspective. To this aim, we calculate the balance between, on the one hand, the taxes and social contributions those households have to pay and, on the other, what they receive as social transfers. The research question here is whether middle class households benefit more or less from income redistribution than lower and upper class households. According to this study, income redistribution schemes appear to be “redistributive” in most of the European countries, which means that households having high income contribute to the income of those having lower resources. However, the intensity of the redistribution varies from one country to another: basically, northern European countries, in line with the Beveridge “universal” approach are more redistributive than southern countries, where social protection is mainly financed by employers and employee social insurance contributions."
"In the context of economic and financial difficulties, the debate over the effect of income taxation and redistribution has come back in most of the European countries. In this paper, we use the LIS data to examine the impact of income redistribution on middle class households from a cross-country perspective. To this aim, we calculate the balance between, on the one hand, the taxes and social contributions those households have to pay and, on ...

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Luxembourg

"The paper draws on the LIS data to describe the socio-economic situation of the Middle Classes for a selection of European countries over the last 30 years. The LIS data were used as they cover a wide range of countries, including not only European countries, but also American and Asiatic countries like India, China, Russia, Brazil, Peru or Chile. In addition, for some countries, LIS time series start in the seventies, which is particularly interesting for analysis over time. The paper starts with an historical and sociological review of the middle class concept in France, Germany, Belgium and the United Kingdom. Different options are considered then to define the middle classes, namely using subjective (self-assessment) or more objective criteria like income level, education attainment or type of occupation. The income-based definition is finally chosen as comparative data on income are now available in the European countries from sources like the LIS or EU Statistics on Income and Living Conditions (EU-SILC). Besides, income is generally correlated with socio-economic characteristics like age, education attainment or occupation. Based on this definition, summary statistics (size, mean income…) are produced for the middle class households in European countries. We observe that the situation of middle class households varies from one country to another: the group is getting smaller in some countries, while getting larger in others. With regard to income levels, the mean income of middle class households has been increasing over the last decades. However, it should be noted that the increase was in some key European countries (such as France) slower than the increase for lower class or upper class households."
"The paper draws on the LIS data to describe the socio-economic situation of the Middle Classes for a selection of European countries over the last 30 years. The LIS data were used as they cover a wide range of countries, including not only European countries, but also American and Asiatic countries like India, China, Russia, Brazil, Peru or Chile. In addition, for some countries, LIS time series start in the seventies, which is particularly ...

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Problèmes économiques - n° 2.718 -

Fonctionnement de la justice, qualité de l'environnement, diffusion de l'informatique… les Français ont chacun leur opinion ! L'âge, la formation, ou le niveau de revenu sont souvent les facteurs avancés pour expliquer les avis divergents. Leur influence est cependant aussi importante sinon plus que celle du lieu de résidence. Une fracture apparaît ainsi nettement entre les citadins, les ruraux, et les franciliens.

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