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"There has been a lot of attention on the current transition of power taking place in Brussels. The new EU leadership will be confronted with a number of internal and external challenges. They will have deal with economic stagnation, the negative effects of fragmentation and the need to increase the Union's legitimacy. There is no better moment to take stock of the ‘state of the Union' and to look ahead into the next European political cycle (2014-2019), focusing not on personalities but on content: what challenges do we face and what should the EU focus on in the coming years? These new beginnings will encounter new challenges, and who better understands the issues than some of the key players in European politics. Challenge Europe brings these players together and explores what social, political and economic challenges are facing Europe, and its' citizens."
"There has been a lot of attention on the current transition of power taking place in Brussels. The new EU leadership will be confronted with a number of internal and external challenges. They will have deal with economic stagnation, the negative effects of fragmentation and the need to increase the Union's legitimacy. There is no better moment to take stock of the ‘state of the Union' and to look ahead into the next European political cycle ...

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Courrier des Pays de l'Est - n° 1050 -

Courrier des Pays de l'Est

"Au terme de treize années de pouvoir sans discontinuité, le ténor de la scène politique slovène, le parti Démocratie libérale, a dû céder la place au Parti démocrate, à l'issue des élections législatives du 4 octobre 2004. S'appuyant sur une coalition de centre droit réunissant quatre formations, menée par le très charismatique Janez Jansa, «père» de l'indépendance slovène, le nouveau gouvernement a pour tâche de préparer la Slovénie à mieux affronter une donne économique en complète redéfinition sur le plan mondial comme européen. La nouvelle loi sur les investissements étrangers de juillet 2004 devrait y contribuer. Certes, le pays dispose de solides atouts : une bonne santé économique comme en témoignent le taux de croissance (4,9 %, le meilleur depuis 2000) et les autres indicateurs fondamentaux, qu'il s'agisse de l'inflation, de l'ampleur modérée des déficits budgétaire et commercial, un niveau de vie le plus élevé des nouveaux pays membres, dopé, en 2004, par une nouvelle augmentation de la consommation. Capable de tirer le meilleur parti de sa position géographique et de son appartenance passée à la Fédération yougoslave, la Slovénie entretient des relations étroites, pas uniquement économiques, avec les pays successeurs de l'ex-Yougoslavie, mais qui restent parfois délicates avec la Croatie. Déployant dans les institutions européennes une activité remarquée (présidence de l'OSCE en 2005, portefeuille du Commissariat européen chargé de la Science et de la Recherche, entrée dans le MCE II en juin 2004), ce nouvel Etat membre de l'UE doit trouver un second souffle, ce qui implique de s'attaquer à certaines rigidités structurelles de son appareil de production, une adaptation impérative, dont le consensus social, propre à ce pays démographiquement vieillissant, risque de faire les frais."
"Au terme de treize années de pouvoir sans discontinuité, le ténor de la scène politique slovène, le parti Démocratie libérale, a dû céder la place au Parti démocrate, à l'issue des élections législatives du 4 octobre 2004. S'appuyant sur une coalition de centre droit réunissant quatre formations, menée par le très charismatique Janez Jansa, «père» de l'indépendance slovène, le nouveau gouvernement a pour tâche de préparer la Slovénie à mieux ...

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Courrier des Pays de l'Est - n° 1050 -

Courrier des Pays de l'Est

"2004 et 2005 pourraient être qualifiées chacune d' «annus horribilis» ou d'avoir connu le «niveau zéro» en politique intérieure. Trois gouvernements d'une même coalition (sociaux-démocrates, chrétiens-démocrates et libéraux) ont dû être remaniés, en grande partie du fait de dissensions au sein même de la social-démocratie, à la suite d'échecs électoraux, mais aussi dans la coalition, les chrétiens-démocrates étant tentés de répondre à l'appel de l'opposition conservatrice (ODS), grand vainqueur des élections régionales de 2004, et ne pardonnant rien au pouvoir en place. De son côté, le chef de l'Etat, V. Klaus, toujours président d'honneur de ce parti, n'a rien fait pour calmer le jeu, gardant l'espoir de la mise en place d'un régime présidentiel (ou semi). Cette difficile cohabitation a été avérée lors des débats sur le traité constitutionnel européen, avec des membres du gouvernement favorables au «oui» et un Président affichant ouvertement son euroscepticisme et partisan du «non». En cette 15e année de régime démocratique dans les Pays tchèques, les interrogations n'ont pas manqué sur l'état de la société, notamment la corruption et l'immigration, les relations entre l'Etat et les Eglises, sur le passé proche et lointain. Les crises politiques successives, qui ont gelé les grands dossiers sur les réformes des retraites et de la santé, n'ont cependant pas ralenti la marche de l'économie, dont les résultats sont plus que satisfaisants, avec notamment une nette amélioration du commerce extérieur, la fin des grandes restructurations, une baisse du chômage, une faible inflation et une monnaie forte. Les seules ombres au tableau sont les déficits publics chroniques et l'apparition palpable d'une pauvreté, jusque-là «invisible»."
"2004 et 2005 pourraient être qualifiées chacune d' «annus horribilis» ou d'avoir connu le «niveau zéro» en politique intérieure. Trois gouvernements d'une même coalition (sociaux-démocrates, chrétiens-démocrates et libéraux) ont dû être remaniés, en grande partie du fait de dissensions au sein même de la social-démocratie, à la suite d'échecs électoraux, mais aussi dans la coalition, les chrétiens-démocrates étant tentés de répondre à l'appel ...

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Courrier des Pays de l'Est - n° 1050 -

Courrier des Pays de l'Est

"L'alternance intervenue en juin 2005 au profit du Parti socialiste, devant le Mouvement national Siméon II et son allié, le Mouvement des droits et libertés (DPS) représentant la minorité turque, jusque-là au pouvoir, aurait pu passer pour banale, si n'était l'émergence d'un parti inconnu, Ataka, symbole de toutes les frustrations, et qu'on pourrait qualifier «d'anti tout». La nouvelle coalition au pouvoir, quelle que soit sa composition, aura du mal à s'imposer, sachant par ailleurs que le DPS est désormais contesté, car accusé de défendre surtout des intérêts particuliers et non nationaux. Désaveu de la classe politique, accusée de corruption ? Refus des «demandes» européennes jugées excessives, alors même que l'UE connaît une crise institutionnelle et n'est pas exempte de dysfonctionnements ? Recherche d'un ressourcement national (après des années de transition, perçue souvent comme imposée de l'extérieur), derrière lequel se profile une forte hostilité à l'égard des minorités turques et roms ? Les Bulgares ne sont pas les seuls à émettre un vote protestataire, et pourtant, ils ont connu, en 2004-2005, une sorte d'embellie économique et sociale, laissant présager le maintien aux affaires du gouvernement de Siméon II : croissance de 5,5 %, hausse des salaires et des allocations sociales, excédent budgétaire, développement du crédit aux ménages, investissements étrangers, liés aux privatisations, et pourvoyeurs d'emplois... mais aussi objets de scandales, comme l'a montré le «Danonegate». La signature du traité d'adhésion à l'UE en avril 2005, n'a pas fait recette, le rêve européen s'estompe, l'heure est avant tout, selon les sondages, à la lutte contre le chômage et les inégalités sociales. Reste aussi à faire une réforme essentielle, celle de la justice."
"L'alternance intervenue en juin 2005 au profit du Parti socialiste, devant le Mouvement national Siméon II et son allié, le Mouvement des droits et libertés (DPS) représentant la minorité turque, jusque-là au pouvoir, aurait pu passer pour banale, si n'était l'émergence d'un parti inconnu, Ataka, symbole de toutes les frustrations, et qu'on pourrait qualifier «d'anti tout». La nouvelle coalition au pouvoir, quelle que soit sa composition, aura ...

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Courrier des Pays de l'Est - n° 1042 -

Courrier des Pays de l'Est

"Après une longue période de quasi-indifférence, la Moldavie fait l'objet de l'attention de l'Union européenne et des Etats-Unis. Les modestes résultats obtenus par le mécanisme de l'Accord de coopération et de partenariat, mais surtout l'élargissement à huit pays de l'Europe centrale et orientale, le 1er mai 2004, ont obligé l'UE à revoir ses relations avec la Moldavie. La communication sur l'Europe élargie présentée par la Commission européenne en 2003 constitue une tentative de redéfinition des rapports de l'UE avec ses futurs nouveaux voisins à l'Est. L'objectif est d'intégrer ces derniers dans l'espace européen sans les faire entrer dans l'UE. La Moldavie pourrait constituer un laboratoire de cette politique. L'UE, conjointement avec les Etats-Unis, a également décidé de prendre une part active au règlement du conflit qui oppose Chisinau à la république séparatiste de Transnistrie. Toutefois, les résultats de cette nouvelle politique européenne sont mitigés. D'une part, l'attitude à l'égard de l'UE du Président moldave, V. Voronine, demeure ambiguë. D'autre part, cette politique suscite inquiétude et résistance à Moscou. Elle a entraîné un refroidissement des relations entre la Russie et la Moldavie et une tension avec Bruxelles, comme l'a montré l'échec de la réunion de l'OSCE. Un an après son lancement, la nouvelle politique de l'UE à l'égard de la Moldavie soulève plus de questions qu'elle n'apporte de réponses."
"Après une longue période de quasi-indifférence, la Moldavie fait l'objet de l'attention de l'Union européenne et des Etats-Unis. Les modestes résultats obtenus par le mécanisme de l'Accord de coopération et de partenariat, mais surtout l'élargissement à huit pays de l'Europe centrale et orientale, le 1er mai 2004, ont obligé l'UE à revoir ses relations avec la Moldavie. La communication sur l'Europe élargie présentée par la Commission ...

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Courrier des Pays de l'Est - n° 1042 -

Courrier des Pays de l'Est

"Résolument tournée vers l'Union européenne dès les lendemains de la chute du mur de Berlin, la Pologne n'a jamais cessé pour autant d'accorder une attention particulière à ses voisins est-européens, à commencer par l'Ukraine. Cet intérêt trouve également sa source dans l'histoire et la mémoire collective polonaises. La situation géographique, comme le poids politique et économique de ce pays en ont fait "une puissance régionale", dont l'influence, voire l'aura, se sont momentanément imposées dans les premières années de la transition vers le marché, Varsovie faisant alors figure de pionnière en la matière. Les événements du 11 septembre 2001 ont sensiblement modifié la donne internationale comme régionale ; l'alignement du gouvernement polonais sur la politique extérieure américaine a fait de la Pologne, un allié dévoué de Washington, position qu'il lui a fallu concilier au mieux avec son processus d'adhésion, parfois laborieux, à l'Union européenne. Mais le retour en force de la Russie et surtout le soutien de celle-ci à la lutte contre le terrorisme menée par les Etats-Unis, parallèlement à son dialogue renouvelé avec l'Union européenne, ont nettement amoindri, de fait, le rôle de la Pologne dans la région. Désormais membre de l'UE, placée par conséquent en première ligne des nouvelles frontières de celle-ci, elle ne peut que continuer d'être très concernée par la nouvelle politique européenne de voisinage, ainsi qu'en témoigne le rôle qu'elle s'est efforcée d'avoir dans les travaux ayant préludé à la communication de la Commis sion sur les nouveaux voisins de l'Europe élargie, du 11 mars 2003."
"Résolument tournée vers l'Union européenne dès les lendemains de la chute du mur de Berlin, la Pologne n'a jamais cessé pour autant d'accorder une attention particulière à ses voisins est-européens, à commencer par l'Ukraine. Cet intérêt trouve également sa source dans l'histoire et la mémoire collective polonaises. La situation géographique, comme le poids politique et économique de ce pays en ont fait "une puissance régionale", dont ...

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SEER. Journal for Labour and Social Affairs in Eastern Europe - vol. 18 n° 1 -

SEER. Journal for Labour and Social Affairs in Eastern Europe

"Foreign policy and security have been significant issues for the European Union since its foundation, and the EU's role in the maintenance of international peace and security has been discussed intensively. This article explores the international role and approach of the EU in this area in the light of arguments in the relevant literature and official statements of the EU. It goes on to investigate whether the EU has succeeded in developing policies corresponding to its international role and approach in the 21st century within the framework of policies in regard to the Second Gulf War; the issue of Iran's nuclear activities; and the Arab Spring. Additionally, the effects of these three issues on the international role of the EU and on its approach towards the maintenance of international peace and security are also studied. In considering that the US has the leading role in all these three issues as the hegemonic actor, the article explores whether the EU could be an attraction centre in the international community as an alternative to the US via a self-determined international role. "
"Foreign policy and security have been significant issues for the European Union since its foundation, and the EU's role in the maintenance of international peace and security has been discussed intensively. This article explores the international role and approach of the EU in this area in the light of arguments in the relevant literature and official statements of the EU. It goes on to investigate whether the EU has succeeded in developing ...

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