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Scandinavian Journal of Work, Environment and Health - vol. 26 n° 4 -

Scandinavian Journal of Work, Environment and Health

"Objectives The aim of the study was, on the basis of new information on nickel species and exposure levels, to generate a specific exposure matrix for epidemiologic analyses in a cohort of Norwegian nickel-refinery workers with a known excess of respiratory cancer. Methods A department-time-exposure matrix was constructed with average exposure to total nickel estimated as the arithmetic mean of personal measurements for periods between 1973 and 1994. From 1972 back to the start of production in 1910, exposure concentrations were estimated through retrograde calculation with multiplication factors developed on the basis of reported changes in the metallurgical process and work environment. The relative distribution of water-soluble nickel salts (sulfates and chlorides), metallic nickel, and particulates with limited solubility (sulfides and oxides) was mainly derived from speciation analyses conducted in the 1990s. Results The average concentration of nickel in the breathing zone was less than or equal to 0.7 mg/m3 for all workers after 1978. Exposure levels for smelter and roaster day workers were 2-6 mg/m3 before 1970, while workers in nickel electrolysis and electrolyte purification were exposed to concentrations in the range of 0.15-1.2 mg/m3. The level of water-soluble nickel was of the same order for workers in the smelting and roasting departments as in some of the electrolyte purification departments. Conclusions Compared with earlier estimates, the present matrix probably offers a more reliable description of past exposures at the plant."
"Objectives The aim of the study was, on the basis of new information on nickel species and exposure levels, to generate a specific exposure matrix for epidemiologic analyses in a cohort of Norwegian nickel-refinery workers with a known excess of respiratory cancer. Methods A department-time-exposure matrix was constructed with average exposure to total nickel estimated as the arithmetic mean of personal measurements for periods between 1973 and ...

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Cahiers de notes documentaires - Hygiène et sécurité du travail - n° 192 -

Cahiers de notes documentaires - Hygiène et sécurité du travail

"Les investigations menées dans les entreprises visitées permettent de conclure à un risque important d'exposition au plomb, ainsi qu'à des dépassements fréquents des valeurs limites d'exposition pour le nickel et le cadmium. "

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Cahiers de notes documentaires - Hygiène et sécurité du travail - n° 180 -

Cahiers de notes documentaires - Hygiène et sécurité du travail

"Cette étude, qui portait sur la mortalité des salariés impliqués dans la production d'aciers inoxydables ou d'aciers alliés entre 1968 et 1992, était focalisée sur le risque de cancers bronchopulmonaires lié à l'exposition aux métaux : oxydes de fer, chrome, nickel et/ou leurs dérivés. Elle a consisté en une étude de mortalité dans une cohorte historique et en une étude cas-témoins conduite dans la cohorte. Les risques relatifs sont exprimés sous la forme des Standardized Mortality Ratios (SMR) et de leurs intervalles de confiance à 95% (IC), qui permettent de comparer les nombres observés et attendus de décès par cause, en ajustant sur l'âge, le sexe et l'année de décès. Les nombres attendus ont été calculés à partir des taux de mortalité de la population générale du département (référence externe). Les Odds Ratios (OR) ont été estimés par la méthode de la régression logistique conditionnelle. Les expositions professionnelles ont été évaluées tout au long de la carrière professionnelle des cas et des témoins à l'aide d'une matrice emplois-expositions spécifique des procédés industriels. La cohorte était constituée de 4 288 hommes et 609 femmes. La mortalité observée, toutes causes confondues, est significativement inférieure à la mortalité attendue (649 décès, SMR = 0,91, IC = 0,84-0,98). Le SMR concernant la mortalité par cancers bronchopulmonaires n'est pas significativement différent de l'unité (54 décès, SMR = 1,19, IC = 0,89-1,55). L'étude cas-témoins a porté sur 54 cas et 162 témoins appariés individuellement. Les habitudes tabagiques étaient connues pour 71 % des sujets. Aucun excès de cancers bronchopulmonaires n'a été observé pour les expositions aux métaux et/ou à leurs dérivés : fer (OR = 0,94, IC = 0,48-1,86), chrome et/ou nickel (OR = 1,18, IC = 0,62-2,25) et cobalt (OR = 0,64, IC = 0,33-1,25). Il en est de même pour les expositions aux brouillards d'acides (OR = 0,43, IC = 0,17-1,10) et à l'amiante (OR = 1,00, IC = 0,54-1,86). En ce qui concerne les expositions aux hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et à la silice, souvent présents conjointement sur les lieux de travail, on observe des excès statistiquement significatifs de cancers broncho-pulmonaires, avec des OR de 1,95 (IC = 1,03-3,72) et 2,47 (IC = 1,28-4,77) respectivement, avec tendances statistiquement significatives (p < 0,05) à l'augmentation des risques relatifs en fonction des paramètres quantitatifs d'exposition ; les ajustements sur la consommation de tabac n'ont pas fait apparaître d'effets de confusion dus au tabagisme.Cette étude n'a pas permis d'établir de lien entre cancers bronchopulmonaires et expositions au fer, au chrome, au nickel et/ou à leurs dérivés. Des risques relatifs élevés et statistiquement significatifs, avec relations dose-effet, ont été observés pour des expositions simultanées aux HAP et à la silice."
"Cette étude, qui portait sur la mortalité des salariés impliqués dans la production d'aciers inoxydables ou d'aciers alliés entre 1968 et 1992, était focalisée sur le risque de cancers bronchopulmonaires lié à l'exposition aux métaux : oxydes de fer, chrome, nickel et/ou leurs dérivés. Elle a consisté en une étude de mortalité dans une cohorte historique et en une étude cas-témoins conduite dans la cohorte. Les risques relatifs sont exprimés ...

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American Journal of Industrial Medicine - vol. 53 n° 8 -

American Journal of Industrial Medicine

"Nanoparticles are being used in ever increasing numbers in a range of industrial and medical products. Questions surrounding their potential to cause toxic effects in humans have been raised. Although animal experiments predict that nanoparticles are more toxic than their larger counterparts there are few descriptions in the literature of human exposure. A case described in 1994 has been re-examined from a pathology perspective. The subject, a 38-year-old previously healthy male, inhaled nanoparticles of nickel while spraying nickel onto bushes for turbine bearings using a metal arc process. He died 13 days after being exposed and the cause of death at autopsy was adult respiratory distress syndrome (ARDS). Nickel particles <25nm in diameter were identified in lung macrophages using transmission electron microscopy. High levels of nickel were measured in his urine and his kidneys showed evidence of acute tubular necrosis."
"Nanoparticles are being used in ever increasing numbers in a range of industrial and medical products. Questions surrounding their potential to cause toxic effects in humans have been raised. Although animal experiments predict that nanoparticles are more toxic than their larger counterparts there are few descriptions in the literature of human exposure. A case described in 1994 has been re-examined from a pathology perspective. The subject, a ...

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