L'auteur commence par une mise en ordre terminologique relative à certains couples de concepts tels que le sexe et le genre, le masculin et le féminin, et autres attributs d'ordre biologique et social. Ce faisant, elle montre que les stéréotypes ne se rangent pas aussi clairement que l'on pourrait le croire de part et d'autre d'une ligne de démarcation, que les faiblesses d'hier peuvent se révéler être des compétences précieuses, que ce que l'on tenait pour un point fort relève du manque de souplesse et de l'étroitesse de vue. La culture de l'entreprise commence à apprécier et à intégrer les différences entre les hommes et les femmes, et donc à reconnaître le grand intérêt de l'association des caractéristiques dites féminines et masculines au rang des compétences que la compétition acharnée sur le marché mondial exige dans les fonctions de direction.

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