By browsing this website, you acknowledge the use of a simple identification cookie. It is not used for anything other than keeping track of your session from page to page. OK

Documents du Granrut, Charles 9 results

Filter
Select: All / None
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

Futuribles - n° 415 -

"Alors qu'entre 1945 et 2007, la croissance économique mondiale a été relativement élevée et constante, depuis la crise de 2007, une période d'incertitude s'est ouverte, en premier lieu dans les économies développées, mais aussi (dans une moindre mesure) dans les économies émergentes. Le ralentissement de la croissance économique est-il durable et celle-ci peut-elle finir par disparaître ? Telle est l'une des tendances envisagées ici par Charles du Granrut. Il explique ainsi pour quelles raisons les perspectives de croissance économique à moyen-long terme sont, a priori, médiocres, à savoir : la faiblesse de l'augmentation de la population active et de la croissance de la productivité causée, selon certains, par le ralentissement du progrès technique. Qui plus est, la situation financière mondiale, marquée par une déconnexion entre flux d'épargne et flux d'investissement, et par des politiques monétaires très souples (avec des taux d'intérêt très bas), demeure très fragile.Dans ce contexte, selon Charles du Granrut, il devient prioritaire de surmonter les incertitudes et de desserrer les contraintes qui pèsent sur l'économie, en particulier en menant des politiques structurelles (en lien avec les contraintes environnementales, notamment, et tenant compte des évolutions sur le marché du travail) et en revoyant les modes de coopération économique à l'échelle mondiale. Il n'est pas sûr que cela suffise à enrayer le ralentissement de la croissance, mais ce serait un premier pas pour pallier les déséquilibres actuels."
"Alors qu'entre 1945 et 2007, la croissance économique mondiale a été relativement élevée et constante, depuis la crise de 2007, une période d'incertitude s'est ouverte, en premier lieu dans les économies développées, mais aussi (dans une moindre mesure) dans les économies émergentes. Le ralentissement de la croissance économique est-il durable et celle-ci peut-elle finir par disparaître ? Telle est l'une des tendances envisagées ici par Charles ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

Futuribles - n° 325 -

"Avec un taux de croissance de 3,5 % en 2005, les États-Unis confirment leur hégémonie économique mondiale. Pourtant, les revers de cette vitalité économique sont de plus en plus visibles.Depuis le milieu des années 1990, la balance courante des États-Unis est déficitaire tous les ans, car la croissance économique se nourrit plus des importations que des exportations. Ce déficit dépasse actuellement (en moyenne) deux milliards de dollars US par jour. Les Américains sont notamment très dépendants des importations de voitures, de pétrole et de biens de consommation. Le déficit commercial étatsunien est particulièrement important avec la Chine, le Canada et le Mexique.Or, explique Charles du Granrut dans cet article, c'est l'analyse des relations financières qu'entretiennent les États-Unis avec le reste du monde qui permet de comprendre comment ce pays a pu financer aussi longtemps sa croissance, mais aussi son déficit commercial.L'auteur présente ici les mécanismes qui ont conduit les États-Unis à ce déficit commercial, et qui peuvent expliquer son maintien actuel malgré la dépréciation du dollar et les risques que cette situation peut entraîner. Il présente ensuite des scénarios à l'horizon 2025 anticipant les risques encourus par les États-Unis si leur endettement devient insoutenable. Il en ressort que la situation actuelle de ce pays est à la fois difficile à supporter sur le moyen terme, et utile à la stimulation de la croissance mondiale et à la réallocation mondiale de l'épargne. "
"Avec un taux de croissance de 3,5 % en 2005, les États-Unis confirment leur hégémonie économique mondiale. Pourtant, les revers de cette vitalité économique sont de plus en plus visibles.Depuis le milieu des années 1990, la balance courante des États-Unis est déficitaire tous les ans, car la croissance économique se nourrit plus des importations que des exportations. Ce déficit dépasse actuellement (en moyenne) deux milliards de dollars US par ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks