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Documents Aglietta, Michel 34 results

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Revue de l'OFCE - n° 102 -

Revue de l'OFCE

"À partir du milieu du XIXe siècle et jusqu'à la veille de la Première Guerre mondiale, le monde a vécu une première globalisation dont les caractéristiques sont profondément différentes de celle entamée à la fin du siècle dernier. Comme les États-Unis aujourd'hui, le Royaume-Uni était alors la puissance économique, monétaire et financière dominante, mais le cœur de l'économie mondiale qu'elle constituait avec quelques autres pays européens dégageait une épargne nationale importante et exportait massivement capitaux et main-d'œuvre vers le reste du monde. Le régime de croissance qui s'est mis en place à l'échelle mondiale à cette époque, même s'il n'était pas exempt de crises, était sous-tendu par des flux internationaux et des mécanismes monétaires stabilisants. Au contraire, parce que les États-Unis épargnent peu, la seconde globalisation en cours facilite l'accumulation des déséquilibres, notamment financiers, engendrant des crises récurrentes.Conçu pour analyser les interactions entre évolutions démographiques et flux économiques et financiers dans le monde du XXIe siècle, caractérisé entre autres par un vieillissement démographique qui gagne successivement les différentes régions du monde, et par des progrès techniques naissant dans les économies les plus avancées et se diffusant dans le reste du monde, engendrant ainsi des phénomènes de rattrapage économique, le modèle INGENUE est un outil destiné à l'exploration de scénarios cohérents d'évolution de l'économie mondiale au cours des décennies à venir. Il permet de déterminer les flux internationaux de biens et de capitaux, les rythmes de croissance des grandes régions du monde, les taux de rendement du capital, etc., qui sont compatibles avec les changements démographiques et avec des hypothèses plausibles de diffusion technologique. Il permet également d'étudier les modifications induites par des changements dans le rythme de rattrapage des grandes régions — notamment la Chine et l'Inde — ou par des réformes de certaines institutions clés influant sur les comportements d'épargne des ménages, telles que les régimes publics de retraite par répartition."
"À partir du milieu du XIXe siècle et jusqu'à la veille de la Première Guerre mondiale, le monde a vécu une première globalisation dont les caractéristiques sont profondément différentes de celle entamée à la fin du siècle dernier. Comme les États-Unis aujourd'hui, le Royaume-Uni était alors la puissance économique, monétaire et financière dominante, mais le cœur de l'économie mondiale qu'elle constituait avec quelques autres pays européens ...

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03.02-63751

Odile Jacob

"La construction européenne constitue-t-elle encore un but qui puisse être partagé par les États et légitimé par leurs citoyens ? Les auteurs nous proposent un diagnostic sur la crise actuelle, précis (l'euro reste, pour des raisons culturelles et institutionnelles, une monnaie étrangère) et original (les dettes publiques ne sont pas la cause de la crise européenne !) ; une dénonciation d'une série d'erreurs commises depuis 2010 ; des propositions liant étroitement la réforme de la gouvernante européenne à un véritable projet de croissance. Mais, si la souveraineté de l'euro passe par le fédéralisme, celui-ci restera toujours suspect aux yeux des citoyens, en l'absence d'un nouveau contrat social et économique. Pour créer l'Europe, il ne suffit pas de redéfinir le mandat de la Banque centrale européenne ou de mettre en place l'union bancaire, il faut aussi partager les politiques industrielles et mettre en oeuvre des projets régionaux communs."
"La construction européenne constitue-t-elle encore un but qui puisse être partagé par les États et légitimé par leurs citoyens ? Les auteurs nous proposent un diagnostic sur la crise actuelle, précis (l'euro reste, pour des raisons culturelles et institutionnelles, une monnaie étrangère) et original (les dettes publiques ne sont pas la cause de la crise européenne !) ; une dénonciation d'une série d'erreurs commises depuis 2010 ; des p...

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V

Economie Politique - n° 89 -

Economie Politique

"Le néolibéralisme a conduit au délitement des capacités de planification construites après la guerre, dont la crise pandémique a montré à quel point elles faisaient défaut. Esquisse des conditions politiques, financières et industrielles d'une planification écologique ancrée dans les territoires."

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Economie Politique - n° 66 -

Economie Politique

"L'euro est une monnaie incomplète, privée du lien organique entre la banque centrale et l'Etat souverain. D'où la violence de la crise dans la zone euro. Un Etat fédéral européen étant hautement improbable, l'union monétaire ne pourra fonctionner que sur la base de partages partiels de souveraineté."

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Economie Politique - n° 70 -

Economie Politique

"Les taux d'intérêt négatifs sont la dernière arme des banques centrales pour lutter contre le marasme économique. Non sans effets pervers, mais sans succès, car la baisse du rendement du capital traduit des tendances de fond de nos économies."

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Problèmes économiques - n° 3111 -

Problèmes économiques

"Seule l'élévation du niveau général du taux d'investissement en Europe peut, selon les auteurs, aider l'Union européenne (UE) à retrouver une croissance durable et de qualité, au-delà du rebond conjoncturel de 2013. Les objectifs 2020 inscrits dans le paquet Climat-Énergie de l'UE, et l'opportunité offerte par la conférence de Paris sur le climat de décembre 2015, constituent les bases d'un programme ambitieux. Mais étant donné l'ampleur des investissements à réaliser et leur coût – 120 milliards d'euros d'investissement sont notamment requis pour atteindre les objectifs en matière d'énergie renouvelable et 60 milliards d'euros seraient chaque année nécessaires pour la rénovation des bâtiments –, ce programme ne pourra être accompli qu'à l'aide d'un financement largement nourri par le programme de quantitative easing de la Banque centrale européenne (BCE) au premier trimestre 2015."
"Seule l'élévation du niveau général du taux d'investissement en Europe peut, selon les auteurs, aider l'Union européenne (UE) à retrouver une croissance durable et de qualité, au-delà du rebond conjoncturel de 2013. Les objectifs 2020 inscrits dans le paquet Climat-Énergie de l'UE, et l'opportunité offerte par la conférence de Paris sur le climat de décembre 2015, constituent les bases d'un programme ambitieux. Mais étant donné l'ampleur des ...

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03.04-64848

Michalon

"La zone euro inquiète par sa désunion et par l'appauvrissement d'une partie de sa population. Son échec à surmonter sa crise depuis 2010 se répercute sur toute l'Europe. Ne pas se résigner au déclin qu'entraînerait la poursuite du marasme actuel implique de changer de mentalité. Car l'absence de coopération de l'Allemagne pour soutenir la croissance de la zone euro réduit à néant les efforts de rigueur budgétaire des pays, dont la France, parce que les politiques d'austérité étouffent l'investissement productif. Il n'y a pas d'avenir pour qui est incapable d'investir. Il n'y a pas d'élan pour l'investissement innovant dans les pays qui se sont convertis à l'hégémonie de la finance et ont donc promu la rente financière et immobilière aux dépens du travail. L'Europe doit affronter les défis du xxie siècle en retrouvant son autonomie idéologique dans l'esprit communautaire des origines. Ce livre montre le besoin d'une vue de long terme tournée vers deux finalités : reconstruire un contrat social fondé sur un partenariat entrepreneurial et investir résolument dans la transition écologique. Cette ambition politique redonnera aux citoyens des pays membres un sentiment d'appartenance à une communauté plus large. Pour y parvenir il faut renforcer les institutions européennes sur les plans financier et budgétaire. C'est faire de l'euro une monnaie complète, parce que revêtue d'une légitimité démocratique. "
"La zone euro inquiète par sa désunion et par l'appauvrissement d'une partie de sa population. Son échec à surmonter sa crise depuis 2010 se répercute sur toute l'Europe. Ne pas se résigner au déclin qu'entraînerait la poursuite du marasme actuel implique de changer de mentalité. Car l'absence de coopération de l'Allemagne pour soutenir la croissance de la zone euro réduit à néant les efforts de rigueur budgétaire des pays, dont la France, parce ...

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