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Documents Cordonnier, Laurent 4 results

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Le Monde diplomatique - n° 802 -

"À quoi ressemblera l'après-pandémie ? Les politiques déployées pour faire face à la crise sanitaire ont accéléré les tendances de fond qui traversaient les sociétés et inquiétaient les populations : incertitude, précarité, machinisme dévorant, désincarnation des rapports humains. Pour l'essentiel, cette transition vers le capitalisme numérique aura été pilotée par l'État."

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y

03.02-66081

Paris

"Le mal du siècle économique, c'est le chômage. Voilà une opinion partagée par le plus grand nombre. D'une certaine façon, des générations d'économistes nous ont appris à penser comme ça. Mais, sous les cieux propices de l'embellie économique des pays industriels, l'équation s'inverse. On voudrait nous faire croire que "le chômage est le produit de la paresse des travailleurs". Allons même plus loin, qu'"il existe des chômeurs par choix rationnel". Dans Pas de pitié pour les gueux, Laurent Cordonnier montre les crocs et gronde. Contre l'idée reçue que l'existence du chômage serait la faute des salariés. Très sceptique sur le prétendu équilibre rationnel de la loi du marché, l'auteur cherche à savoir à qui profite ce que l'on est forcé d'appeler "le crime du chômage". Dans son essai économique très contestataire sur les mécanismes complexes du chômage, Laurent Cordonnier remarque que le stock des chômeurs est, comme par hasard, juste suffisant pour protéger les intérêts capitalistes... On en revient à la question première : à qui profite le crime ? Peut-on sérieusement soupçonner les chômeurs de tirer avantageusement parti des imperfections du marché du travail et leur faire porter si facilement le chapeau du chômage ?"
"Le mal du siècle économique, c'est le chômage. Voilà une opinion partagée par le plus grand nombre. D'une certaine façon, des générations d'économistes nous ont appris à penser comme ça. Mais, sous les cieux propices de l'embellie économique des pays industriels, l'équation s'inverse. On voudrait nous faire croire que "le chômage est le produit de la paresse des travailleurs". Allons même plus loin, qu'"il existe des chômeurs par choix ...

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03.02-66083

Paris

"Dans L'économie des Toambapiks, Laurent Cordonnier utilise le ton et le style de la fable pour décrire avec ironie les effets désastreux que produit la transformation d'une paisible économie agraire en une société capitaliste avancée qui, pour être conforme aux préceptes du néo-keynésianisme, n'en est pas moins cauchemardesque. Tout comme l'ouvrage précédent, Pas de pitié pour les gueux, constituait une sorte d'anti-manuel d'économie du travail, ce livre donne une vision claire des principaux mécanismes qui, selon les économistes, régissent le fonctionnement macroéconomique des sociétés. Il dénonce dans le même mouvement les non-dits politiques d'une vision du monde aujourd'hui à la fois dominante et ébranlée par la crise."
"Dans L'économie des Toambapiks, Laurent Cordonnier utilise le ton et le style de la fable pour décrire avec ironie les effets désastreux que produit la transformation d'une paisible économie agraire en une société capitaliste avancée qui, pour être conforme aux préceptes du néo-keynésianisme, n'en est pas moins cauchemardesque. Tout comme l'ouvrage précédent, Pas de pitié pour les gueux, constituait une sorte d'anti-manuel d'économie du ...

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La Revue de l'IRES - n° 79 -

"La financiarisation est le concept fréquemment utilisé pour caractériser les changements majeurs intervenus dans le fonctionnement macroéconomique des pays avancés (et, peut-être dans une moindre mesure, des pays en développement) depuis le début des années 1980. Pour résumer, ce concept fait référence au rôle croissant de la finance dans la transformation des institutions, des comportements et des objectifs des acteurs économiques (ménages, sociétés non financières, sociétés financières, État). Dans cet article, nous montrons que la financiarisation, en promouvant une nouvelle norme financière de rentabilité accrue, a élevé le coût du capital pour les sociétés non financières en France. Après avoir revisité la notion de coût du capital et proposé une mesure de ce qu'on pourra appeler le « surcoût » du capital, nous exposons les raisons qui permettent de comprendre pourquoi l'évolution de ce surcoût peut expliquer la diminution du rythme de l'accumulation du capital, et in fine, pourquoi cette élévation du coût du capital permet de mieux appréhender le ralentissement des performances macroéconomiques françaises depuis les trente dernières années."
"La financiarisation est le concept fréquemment utilisé pour caractériser les changements majeurs intervenus dans le fonctionnement macroéconomique des pays avancés (et, peut-être dans une moindre mesure, des pays en développement) depuis le début des années 1980. Pour résumer, ce concept fait référence au rôle croissant de la finance dans la transformation des institutions, des comportements et des objectifs des acteurs économiques (ménages, ...

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