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Documents Drevet, Jean-François 46 results

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Futuribles - n° 367 -

Futuribles

"Les gouvernements apparaissent de plus en plus impuissants, constate ici Jean-François Drevet. En Europe notamment, ils « semblent largement dépassés et dépourvus de capacités d'intervention face à la crise ». Ainsi, on assiste aujourd'hui à une crise de l'État national — fragilisé notamment par d'importants déséquilibres budgétaires —, et l'avenir ne paraît guère plus réjouissant. Qu'en est-il, dans ce contexte, des institutions européennes ? « Elles ont aussi perdu du terrain », avance Jean-François Drevet, contraintes par les gouvernements eux-mêmes, qui ne veulent pas les doter des moyens nécessaires, et par leur manque de légitimité démocratique. Ainsi, « entre la mondialisation et la tentation de renationalisation », certains s'interrogent sur la « pertinence de l'échelon de décision européen ». Une réalité qui conduit l'auteur à souligner la nécessité pour l'Europe de se réveiller pour défendre son rôle. "
"Les gouvernements apparaissent de plus en plus impuissants, constate ici Jean-François Drevet. En Europe notamment, ils « semblent largement dépassés et dépourvus de capacités d'intervention face à la crise ». Ainsi, on assiste aujourd'hui à une crise de l'État national — fragilisé notamment par d'importants déséquilibres budgétaires —, et l'avenir ne paraît guère plus réjouissant. Qu'en est-il, dans ce contexte, des institutions européennes ? ...

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Futuribles - n° 417 -

Futuribles

"Le 23 juin 2016, les Britanniques ont voté à 51,9 % des voix en faveur du Brexit, c'est-à-dire la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Depuis, le nouveau Premier ministre, Theresa May, prépare la négociation des conditions de cette sortie qui, outre ses conséquences économiques, aura également un impact géopolitique notable pour le pays.



C'est à ces conséquences géopolitiques que s'intéresse Jean-François Drevet dans sa tribune, montrant qu'en croyant reprendre ainsi le contrôle de leur vie internationale, les Britanniques pourraient bien être déçus. Côté Commonwealth, le Royaume-Uni n'est plus le partenaire majeur qu'il était dans les années 1970, devancé au plan commercial par les États-Unis, la Chine…, et certains pays membres du Commonwealth redoutent même les conséquences du Brexit sur leur propre économie. S'agissant des États-Unis de l'administration Trump, rien n'indique qu'ils trouvent un intérêt politique ou économique au retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne. Quant à la perspective effleurée par le gouvernement de faire du pays un paradis fiscal aux portes de l'Europe, elle ne suffit pas, pour le moment, à rassurer les acteurs de la finance britannique. Et pour finir, les dissensions internes (Écosse, Irlande) induites par le choix du Brexit risquent de ne pas faciliter la tâche du gouvernement. Comme le conclut fort bien Jean-François Drevet, l'Europe n'est guère plus facile à défaire qu'à faire !"
"Le 23 juin 2016, les Britanniques ont voté à 51,9 % des voix en faveur du Brexit, c'est-à-dire la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Depuis, le nouveau Premier ministre, Theresa May, prépare la négociation des conditions de cette sortie qui, outre ses conséquences économiques, aura également un impact géopolitique notable pour le pays.



C'est à ces conséquences géopolitiques que s'intéresse Jean-François Drevet dans sa tribune, ...

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Futuribles - n° 415 -

Futuribles

"Après les événements qui ont marqué la Turquie cet été 2016 (tentative de coup d'État suivie d'une énorme vague de répression de la part des dirigeants au pouvoir), la question de la place à donner à la Turquie au sein de l'Union européenne ne se pose plus dans les mêmes termes. Les perspectives d'adhésion d'Ankara étaient déjà très minces, mais dans ce contexte et compte tenu de la politique étrangère menée par les dirigeants turcs, elles ont quasi disparu. Reste alors à déterminer comment l'Union doit gérer ses relations avec la Turquie, pays charnière entre Europe et Orient, membre de l'Alliance atlantique et dirigé par un parti islamo-conservateur.Jean-François Drevet propose ici d'éclairer cette question en faisant le point sur la situation de la Turquie au regard de ses relations extérieures et de la politique étrangère qui est la sienne depuis quelques années. Il souligne les difficultés qu'il y a, pour l'Union européenne, à discuter avec des dirigeants peu fiables, opportunistes et dont le regard porte de plus en plus vers l'Asie, alors même que la sécurité du continent européen a longtemps reposé sur le rempart turc. Mais si ce changement de donne est quelque peu perturbant, il constitue aussi une réelle occasion pour l'Union de mettre ses priorités au clair et de les défendre fermement, sans concessions supplémentaires à un pays de moins en moins allié."
"Après les événements qui ont marqué la Turquie cet été 2016 (tentative de coup d'État suivie d'une énorme vague de répression de la part des dirigeants au pouvoir), la question de la place à donner à la Turquie au sein de l'Union européenne ne se pose plus dans les mêmes termes. Les perspectives d'adhésion d'Ankara étaient déjà très minces, mais dans ce contexte et compte tenu de la politique étrangère menée par les dirigeants turcs, elles ont ...

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Futuribles - n° 414 -

Futuribles

"Le 23 juin dernier, les Britanniques ont voté à 51,9 % des voix en faveur du Brexit, c'est-à-dire la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Suite à ce vote, le Premier ministre David Cameron a cédé son poste à Theresa May, qui aura donc la charge de négocier les conditions de cette sortie avec ses futurs ex-partenaires européens. Une négociation qui s'annonce délicate car, comme le montre Jean-François Drevet dans cette tribune, les conséquences du Brexit ne devraient guère se révéler très positives pour le Royaume-Uni, ni sur le plan économique, ni en termes de cohésion sociale et régionale. Côté Union européenne, le fait de redescendre à 27 membres et de ne plus faire face aux blocages récurrents des Britanniques peut faire figure d'opportunité de relance de l'intégration, mais dans le contexte économique et migratoire actuel, il s'agira surtout d'obtenir des institutions européennes qu'elles exercent pleinement leurs compétences, afin d'obtenir des résultats significatifs et de rendre confiance aux citoyens européens. Le pari est loin d'être gagné…"
"Le 23 juin dernier, les Britanniques ont voté à 51,9 % des voix en faveur du Brexit, c'est-à-dire la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Suite à ce vote, le Premier ministre David Cameron a cédé son poste à Theresa May, qui aura donc la charge de négocier les conditions de cette sortie avec ses futurs ex-partenaires européens. Une négociation qui s'annonce délicate car, comme le montre Jean-François Drevet dans cette tribune, les ...

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Futuribles - n° 400 -

Futuribles

"Du 22 au 25 mai 2014, les citoyens des 28 États membres de l'Union européenne sont invités à se rendre aux urnes pour élire leurs représentants au sein du Parlement européen. Malheureusement, dans le contexte actuel de crise qui favorise le repli sur soi dans de nombreux pays du continent, il est fort probable que ces élections ne suscitent pas un grand engouement. Pourtant, au terme de six décennies, la construction européenne a plutôt bien réussi son pari en matière de pacification des relations régionales et de développement économique ; et il reste de nombreuses perspectives d'évolutions politiques, économiques ou sociales à même d'améliorer la vie des Européens à l'heure de la mondialisation.C'est en tout cas ce parti pris résolument optimiste qu'a adopté l'Observatoire en réseau pour l'aménagement du territoire européen (ORATE), dans une étude prospective de l'Europe à l'horizon 2050 visant à fixer des objectifs aux politiques territoriales mises en œuvre sur le continent, à différents niveaux décisionnels. Philippe Doucet et Jean-François Drevet, qui ont participé à cette étude, présentent ici les grandes lignes de cette vision heureuse de l'Europe en 2050, les dynamiques territoriales à l'œuvre à cet horizon (mobilité, économie résidentielle, zones urbaines / zones rurales, frontières…), ainsi que les évolutions possibles en termes de gouvernance territoriale à l'échelle mondiale, européenne, subrégionale, nationale et locale. Certains considéreront peut-être cette démarche comme utopique, mais il s'agit là d'alimenter la réflexion stratégique au service d'un projet européen mobilisateur à l'horizon 2050, afin de se donner les moyens de le concrétiser si telle est l'ambition de l'Union."
"Du 22 au 25 mai 2014, les citoyens des 28 États membres de l'Union européenne sont invités à se rendre aux urnes pour élire leurs représentants au sein du Parlement européen. Malheureusement, dans le contexte actuel de crise qui favorise le repli sur soi dans de nombreux pays du continent, il est fort probable que ces élections ne suscitent pas un grand engouement. Pourtant, au terme de six décennies, la construction européenne a plutôt bien ...

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Futuribles - n° 398 -

Futuribles

"L'année 2014 est une année importante pour l'Union européenne qui verra en mai, pour la neuvième fois depuis 1979, les citoyens de ses États membres élire les députés les représentant au Parlement européen. Mais avec un scrutin proportionnel et dans le contexte socio-économique pour le moins tendu qui prévaut en Europe depuis six ans, le risque est grand de voir grossir les rangs des partis d'extrême droite. Car comme le montre ici Jean-François Drevet, les mouvances « néopopulistes » se renforcent un peu partout sur le continent depuis quelques années, que les pays soient en crise ou non, et tendent à converger au-delà de leurs frontières nationales respectives, via leur critique du fonctionnement de l'Union européenne et dans leur défense de l'« identité occidentale ». Si l'on ajoute à cela la faiblesse politique des partis de gouvernement à l'égard des questions religieuses et identitaires, et la « courte échelle » que se font réciproquement les extrémistes nationalistes et les groupes musulmans fondamentalistes, il y a lieu de s'interroger sur l'issue des prochaines consultations électorales, leur impact sur la cohésion sociale dans les différents pays de l'Union, et les conséquences qu'elles pourraient avoir sur le fonctionnement des institutions européennes."
"L'année 2014 est une année importante pour l'Union européenne qui verra en mai, pour la neuvième fois depuis 1979, les citoyens de ses États membres élire les députés les représentant au Parlement européen. Mais avec un scrutin proportionnel et dans le contexte socio-économique pour le moins tendu qui prévaut en Europe depuis six ans, le risque est grand de voir grossir les rangs des partis d'extrême droite. Car comme le montre ici Jea...

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Futuribles - n° 390 -

Futuribles

"Les différentes crises (économique, institutionnelle, monétaire…) qu'a connues l'Union européenne ces dernières années et la façon dont les États membres y ont réagi, à l'échelle nationale ou communautaire, ont remodelé les équilibres entre les différents pays. Parmi eux, trois « Grands » méritent une attention particulière, en raison du poids démographique, économique et diplomatique qu'ils représentent dans cet ensemble régional : le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France.Jean-François Drevet présente ici le positionnement de ces trois pays dans l'Union et leurs perspectives à moyen-long terme. Face à un Royaume-Uni conforté dans sa position européenne minimaliste, entre attentisme et euroscepticisme, resté dans le sillon du grand frère états-unien, le couple franco-allemand déséquilibré au profit de Berlin peine à engager l'effort d'intégration régionale qui permettrait à l'Union de rebondir, à la fois économiquement et diplomatiquement. Un rééquilibrage serait salutaire, mais la France est-elle en mesure de dépasser sa vision intergouvernementale de l'édifice européen pour procéder aux innovations nécessaires au renforcement de l'Union, sans doute la seule alternative au déclin ?"
"Les différentes crises (économique, institutionnelle, monétaire…) qu'a connues l'Union européenne ces dernières années et la façon dont les États membres y ont réagi, à l'échelle nationale ou communautaire, ont remodelé les équilibres entre les différents pays. Parmi eux, trois « Grands » méritent une attention particulière, en raison du poids démographique, économique et diplomatique qu'ils représentent dans cet ensemble régional : le ...

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Futuribles - n° 389 -

Futuribles

"La crise économique qui affecte l'Europe depuis près de cinq ans a également ravivé les dissensions internes à l'Union européenne et montré les difficultés de celle-ci à mettre en œuvre une solidarité efficace pour tous les États membres. Si l'Allemagne demande un renforcement de l'intégration européenne, dans une perspective plus fédéraliste, elle est loin de faire l'unanimité chez ses partenaires. Pourtant, comme le montre ici Jean-François Drevet, les disparités de développement économique des pays européens ne datent pas d'hier, et malgré les mécanismes mis en place au fil de la construction de l'Union et de son élargissement, elles ne se sont pas durablement résorbées, les pays du Sud (Italie, Grèce, Espagne, Portugal) ne parvenant pas à rattraper leur retard économique sur ceux du Nord (Allemagne, France, Benelux…). La solidarité a un prix, certes, mais si elle est mise en œuvre à l'échelle communautaire, elle pourrait aussi se révéler plus efficace que les politiques nationales dans la résolution des problèmes économiques actuels, comme le montre cette tribune, et assurer, à plus long terme, le rattrapage économique du Sud. Mais pour cela, il faudrait se doter d'un budget communautaire digne de ce nom, susceptible d'alimenter une politique européenne de cohésion d'une tout autre ampleur…"
"La crise économique qui affecte l'Europe depuis près de cinq ans a également ravivé les dissensions internes à l'Union européenne et montré les difficultés de celle-ci à mettre en œuvre une solidarité efficace pour tous les États membres. Si l'Allemagne demande un renforcement de l'intégration européenne, dans une perspective plus fédéraliste, elle est loin de faire l'unanimité chez ses partenaires. Pourtant, comme le montre ici Jean-François ...

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