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CRISP

"En Belgique comme partout ailleurs, le secteur de l'énergie est amené à se remettre profondément en question. En effet, les modes traditionnels de production d'énergie ont montré leurs limites et leurs dangers : l'utilisation du pétrole, du charbon et du gaz repose sur des réserves appelées à se tarir et a d'importantes répercussions sur l'environnement, tandis que le nucléaire comporte de grands risques et reste soumis à la question du traitement des déchets radioactifs. Dès lors, une « transition énergétique », consistant en un recours accru aux sources d'énergie vertes (vent, soleil, etc.), s'impose de plus en plus comme une alternative raisonnable, voire incontournable. Ce mouvement est à l'œuvre à l'échelle mondiale, selon des rythmes de progression différents, et particulièrement au sein de l'Union européenne.
Passer des énergies fossiles aux énergies renouvelables constitue cependant un véritable défi. Nombreuses sont les difficultés qui font obstacle aux volontés des mandataires politiques, des professionnels de l'énergie (producteurs, distributeurs, etc.) et des consommateurs (ménages et entreprises). En particulier, se pose le problème de la manière d'intégrer les énergies vertes, par nature produites de façon décentralisée et intermittente, dans le réseau déjà existant. Le recours au numérique et à une plus grande flexibilité de l'ensemble du système constitue aujourd'hui un enjeu central. Sans oublier que le renouvelable, subsidié par les pouvoirs publics, a pour effet d'augmenter le coût global de l'énergie.
Centré sur le cas de la Belgique, ce Courrier hebdomadaire permet de saisir la complexité de l'équation énergétique qui est actuellement en place, équation qui est soumise aux premiers effets de la transition énergétique, ainsi qu'aux mutations et défis que celle-ci implique et aux contraintes qu'elle rencontre, notamment dans le cadre d'un État fédéral. Une attention particulière est réservée aux divers acteurs qui interviennent dans le débat. Spécialement, F. Collard analyse les différents éléments qui composent la facture d'électricité des ménages ; cet exercice explique les raisons pour lesquelles, bien qu'elle coûte de moins en moins à produire, l'énergie est vendue toujours plus chère aux particuliers."
"En Belgique comme partout ailleurs, le secteur de l'énergie est amené à se remettre profondément en question. En effet, les modes traditionnels de production d'énergie ont montré leurs limites et leurs dangers : l'utilisation du pétrole, du charbon et du gaz repose sur des réserves appelées à se tarir et a d'importantes répercussions sur l'environnement, tandis que le nucléaire comporte de grands risques et reste soumis à la question du ...

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"Le photovoltaïque occupe régulièrement le devant de la scène politique et médiatique. Pour autant, le secteur des énergies renouvelables est loin de se limiter à cette seule technologie. Il se décline également en plusieurs autres filières : l'éolien, le solaire thermique, l'hydraulique, la géothermie, la biomasse (biogaz, biocarburants…) et la cogénération. Ces diverses sources d'énergie verte sont transformées en électricité, en chaleur et en carburant.

Comparativement aux énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz) ou nucléaire, les énergies renouvelables présentent divers avantages : elles sont inépuisables à très long terme, peuvent être produites sur le lieu de leur consommation et n'ont qu'un impact limité sur l'environnement. En revanche, divers inconvénients les empêchent actuellement d'être pleinement compétitives : problèmes de stockage, difficultés de raccordement au réseau… Surtout, malgré les récents progrès technologiques, les énergies renouvelables restent considérées comme chères à produire. Leur développement n'est donc concevable que dans le cadre de régimes de soutien public.

Ce Courrier hebdomadaire présente les enjeux économiques et politiques qui entourent la question d'une transition énergétique vers davantage de renouvelable. Grâce aux résultats d'études prospectives et à un éclairage du contexte actuel, il cherche à cerner l'avenir du « mix énergétique » en Belgique (les défis, les retombées, les incertitudes…).

Fabienne Collard étudie aussi les différents mécanismes créés pour soutenir les énergies renouvelables, soit par le niveau fédéral soit par les Régions. Elle analyse les spécificités de chacun des systèmes de « certificats verts » qui ont été mis en place, ainsi que leurs évolutions au fil du temps. Après les dérapages induits par des politiques très généreuses à l'égard de certaines filières (dont le photovoltaïque), les aides publiques se sont en effet muées en un soutien plus limité et plus ciblé. Cette nouvelle approche semble appréciée par le secteur des énergies renouvelables, qui demande avec insistance un cadre législatif clair et surtout stable, propice aux investissements et à sa croissance."
"Le photovoltaïque occupe régulièrement le devant de la scène politique et médiatique. Pour autant, le secteur des énergies renouvelables est loin de se limiter à cette seule technologie. Il se décline également en plusieurs autres filières : l'éolien, le solaire thermique, l'hydraulique, la géothermie, la biomasse (biogaz, biocarburants…) et la cogénération. Ces diverses sources d'énergie verte sont transformées en électricité, en chaleur et en ...

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"L'actionnariat des entreprises est une donnée fondamentale de l'économie de marché, qu'il soit constitué de grandes familles, de multinationales ou de fonds publics, qu'il soit ou non concentré dans quelques mains, et qu'il concerne le secteur privé ou le secteur public. Par l'apport de capitaux, les actionnaires deviennent tout à la fois partenaires financiers et copropriétaires des sociétés dans lesquelles ils investissent. À l'échelle d'une région ou d'un pays, ils comptent donc parmi les principaux détenteurs du pouvoir économique. Réalisé par l'équipe du secteur Économie du CRISP, ce Courrier hebdomadaire présente la structure de l'actionnariat en Wallonie durant les années 2010 et 2011. Dans un premier temps, il étudie plus de 65 000 sociétés commerciales qui étaient présentes en Wallonie au cours de cette période. Dans un second temps, il se concentre sur les cent premières de ces entreprises, selon quatre classements : le chiffre d'affaires, les effectifs occupés, le capital souscrit et le total de l'actif. L'analyse met en évidence plusieurs réalités de l'économie wallonne, dont la concentration de l'emploi dans un nombre d'entreprises relativement restreint, l'évolution rapide de la structure de propriété dans certains secteurs, et l'importance des pouvoirs publics belges en termes de capital et d'emploi. L'étude permet également de cerner le poids relatif des groupes belges et étrangers (essentiellement français, allemands, néerlandais et anglais) dans l'actionnariat des entreprises de Wallonie."
"L'actionnariat des entreprises est une donnée fondamentale de l'économie de marché, qu'il soit constitué de grandes familles, de multinationales ou de fonds publics, qu'il soit ou non concentré dans quelques mains, et qu'il concerne le secteur privé ou le secteur public. Par l'apport de capitaux, les actionnaires deviennent tout à la fois partenaires financiers et copropriétaires des sociétés dans lesquelles ils investissent. À l'échelle d'une ...

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"L'actionnariat des entreprises est une donnée fondamentale de l'économie de marché, qu'il soit constitué de grandes familles, de multinationales ou de fonds publics, qu'il soit ou non concentré dans quelques mains, et qu'il concerne le secteur privé ou le secteur public. Par l'apport de capitaux, les actionnaires deviennent tout à la fois partenaires financiers et copropriétaires des sociétés dans lesquelles ils investissent. À l'échelle d'une région ou d'un pays, ils comptent donc parmi les principaux détenteurs du pouvoir économique.
Réalisé par l'équipe du secteur Économie du CRISP, ce Courrier hebdomadaire est consacré à la structure de l'actionnariat en Wallonie en 2015. Tout d'abord, un aperçu général des entreprises présentes en Wallonie est fourni. Il s'intéresse, d'une part, aux entreprises établies en Wallonie – c'est-à-dire celles dont le siège social se situe en Région wallonne – et, d'autre part, aux entreprises dont le siège social est situé hors de Wallonie (à Bruxelles, en Flandre ou à l'étranger) mais qui possèdent une ou plusieurs unités d'établissement en Wallonie. Ensuite, la dépendance externe de l'économie wallonne est étudiée, en se penchant sur la structure capitalistique des entreprises. Les centres de décision qui les contrôlent sont analysés, particulièrement sous l'angle de leur localisation ou non à l'étranger. Cet examen est ponctué par une mesure générale du degré de dépendance de l'économie wallonne vis-à-vis des groupes d'entreprises belges et étrangers. Enfin, les 100 premières entreprises présentes en Wallonie sont étudiées de façon plus approfondie, selon quatre classements : le chiffre d'affaires, l'emploi, le capital souscrit et le total bilantaire. La position dominante de certains groupes et l'évolution de la structure de propriété dans certains secteurs de l'économie wallonne font l'objet de commentaires.
L'analyse met en évidence plusieurs réalités de l'économie wallonne, dont la concentration de l'emploi dans un nombre d'entreprises relativement restreint, l'évolution rapide de la structure de propriété dans certains secteurs, et l'importance des pouvoirs publics belges en termes de capital et d'emploi. L'étude permet également de cerner le poids relatif des groupes belges et étrangers (essentiellement français, états-uniens, néerlandais, allemands et britanniques) dans l'actionnariat des entreprises de Wallonie."
"L'actionnariat des entreprises est une donnée fondamentale de l'économie de marché, qu'il soit constitué de grandes familles, de multinationales ou de fonds publics, qu'il soit ou non concentré dans quelques mains, et qu'il concerne le secteur privé ou le secteur public. Par l'apport de capitaux, les actionnaires deviennent tout à la fois partenaires financiers et copropriétaires des sociétés dans lesquelles ils investissent. À l'échelle d'une ...

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Les analyses du CRISP en ligne -

Les analyses du CRISP en ligne

"La loi prévoyant la sortie du nucléaire date de 2003. Elle est pourtant revenue au cœur de l'actualité de cette fin d'année 2017. Quinze ans après son adoption, comment expliquer que l'application de cette loi (qui a déjà été modifiée à deux reprises, pour la prolongation de Tihange 1 et de Doel 1 et Doel 2) semble une nouvelle fois remise en cause ? Et dans quel cadre plus large le débat sur le nucléaire prend-il place aujourd'hui ? Retour sur les récents développements autour du projet de Pacte énergétique interfédéral belge."
"La loi prévoyant la sortie du nucléaire date de 2003. Elle est pourtant revenue au cœur de l'actualité de cette fin d'année 2017. Quinze ans après son adoption, comment expliquer que l'application de cette loi (qui a déjà été modifiée à deux reprises, pour la prolongation de Tihange 1 et de Doel 1 et Doel 2) semble une nouvelle fois remise en cause ? Et dans quel cadre plus large le débat sur le nucléaire prend-il place aujourd'hui ? Retour sur ...

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"La politique européenne vise à assurer la transition énergétique. Il s'agit de réorienter le mix de ressources utilisées pour la production d'énergie (pour assurer les besoins en électricité, chauffage et transport), en tenant compte de la raréfaction attendue de certaines ressources ainsi que de l'impact environnemental et climatique engendré par leur exploitation. Plus précisément, l'Union européenne vise, d'une part, à un abandon progressif des énergies fossiles – et parfois aussi de l'énergie nucléaire – au profit du développement des énergies renouvelables, notamment en vue de réduire les émissions de gaz à effet de serre, et, d'autre part, à une amélioration de l'efficacité énergétique. Dans ce cadre, l'Union européenne s'est fixé des objectifs chiffrés, qui s'intègrent dans le schéma régulatoire élaboré au niveau mondial (Protocole de Kyoto, Accord de Paris, etc.).

Si les engagements européens se sont étoffés avec le temps, l'Union européenne n'en reste pas moins confrontée à un défi de taille : composer avec des politiques nationales très disparates et les faire coexister. En effet, au-delà du cadre réglementaire commun, les États membres restent souverains quant aux mesures à mettre en œuvre. Or chaque pays adopte une stratégie spécifique, en fonction de son profil énergétique propre (ressources, structures, importations, etc.). Une comparaison des politiques respectives de la France et de l'Allemagne offre une parfaite illustration de ce propos.

Les objectifs que l'Union européenne s'est fixés pour 2020 semblent à portée de main. En revanche, des efforts supplémentaires devront impérativement intervenir ensuite pour atteindre les objectifs à l'horizon 2030 et ceux à l'horizon 2050 et au-delà."
"La politique européenne vise à assurer la transition énergétique. Il s'agit de réorienter le mix de ressources utilisées pour la production d'énergie (pour assurer les besoins en électricité, chauffage et transport), en tenant compte de la raréfaction attendue de certaines ressources ainsi que de l'impact environnemental et climatique engendré par leur exploitation. Plus précisément, l'Union européenne vise, d'une part, à un abandon progressif ...

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"L'économie circulaire est un modèle économique et industriel qui vise à maintenir les produits, leurs composants et leurs matériaux en circulation le plus longtemps possible, tout en veillant à garantir la qualité de leur utilisation. Ce modèle s'oppose en cela à l'économie linéaire, qui s'appuie sur le schéma suivant : extraction des ressources, fabrication et utilisation de biens, production de déchets. C'est principalement au niveau de cette dernière étape qu'économie circulaire et économie linéaire s'opposent puisque, dans la première, les déchets ou produits en fin de vie trouvent une nouvelle utilité, tandis que, dans la seconde, ils sont tout simplement éliminés. Mais bien au-delà du seul recyclage, l'économie circulaire englobe l'ensemble des étapes du processus de production, de la phase de conception d'un produit jusqu'à celle de valorisation des déchets.

Si le bien-fondé des principes qui sous-tendent l'économie circulaire est défendu de plus en plus largement, y compris dans les discours politiques, leur concrétisation fait encore face à d'importants obstacles d'ordre technique ou réglementaire. Cependant, cette problématique est désormais mise en avant en raison des enjeux environnementaux qui entourent les manières de produire et de consommer et de l'urgence qui existe à y apporter une réponse.

Après avoir décrit les contours théoriques de ce modèle ainsi que les divers aspects de sa mise en pratique, ce Courrier hebdomadaire étudie les cadres réglementaires visant à développer l'économie circulaire en Europe, en Belgique et dans les trois Régions du pays (Wallonie, Bruxelles et Flandre). Il propose aussi un état des lieux actuel de la mise en œuvre de l'économie circulaire en Belgique."
"L'économie circulaire est un modèle économique et industriel qui vise à maintenir les produits, leurs composants et leurs matériaux en circulation le plus longtemps possible, tout en veillant à garantir la qualité de leur utilisation. Ce modèle s'oppose en cela à l'économie linéaire, qui s'appuie sur le schéma suivant : extraction des ressources, fabrication et utilisation de biens, production de déchets. C'est principalement au niveau de cette ...

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"Du 9 au 20 novembre 2020, devait se tenir à Glasgow, en Écosse, la 26e Conférence des Parties (COP) sur les changements climatiques. La crise sanitaire due à la pandémie de Covid-19 (maladie due au coronavirus SARS-CoV-2) ayant rendu impossible l'organisation d'un tel événement, la réunion annuelle rassemblant les signataires de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) a été reportée d'une année. Dans un contexte d'urgence climatique clamée par le monde scientifique comme par la société civile, la portée d'une telle décision mérite d'être étudiée.
Dans un premier chapitre, la présente livraison du Courrier hebdomadaire rappelle l'historique qui a mené à la signature, en 1992, d'un traité international reconnaissant officiellement l'existence du dérèglement climatique ainsi que la responsabilité humaine dans ce phénomène et la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre. De manière succincte, nous évoquerons les développements scientifiques, la prise de conscience collective et les divers sommets mondiaux d'envergure qui ont permis à la CCNUCC de voir le jour.
Ce traité international poursuit un objectif commun à tous les signataires : « stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique (…) dans un délai suffisant pour que les écosystèmes puissent s'adapter naturellement aux changements climatiques, que la production alimentaire ne soit pas menacée et que le développement économique puisse se poursuivre d'une manière durable »"
"Du 9 au 20 novembre 2020, devait se tenir à Glasgow, en Écosse, la 26e Conférence des Parties (COP) sur les changements climatiques. La crise sanitaire due à la pandémie de Covid-19 (maladie due au coronavirus SARS-CoV-2) ayant rendu impossible l'organisation d'un tel événement, la réunion annuelle rassemblant les signataires de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) a été reportée d'une année. Dans un ...

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"En annonçant la fin de la commercialisation des voitures à moteur à combustion pour 2035, l'Union européenne impose au secteur de la construction automobile un timing concret pour solder l'ère des moteurs thermiques. Dans ce contexte, la filière électrique rechargeable – composée de voitures 100 % électriques et de voitures hybrides rechargeables –, qui se résumait à peu de choses il y a dix ans encore, représente désormais une dizaine de pourcents des parts de marché au niveau mondial, concentrées essentiellement sur la Chine, l'Europe et les États-Unis. Cet essor récent s'explique essentiellement par les politiques incitatives mises en place et par les normes d'émission imposées aux constructeurs, ainsi que par les annonces des autorités publiques visant soit la fin progressive de la vente de véhicules thermiques, soit l'atteinte de leurs ambitions en termes de développement de la flotte électrique.

Forcés de prendre le train en marche, les constructeurs ont adapté peu à peu leur stratégie et, désormais, ils contribuent à amplifier le mouvement ainsi amorcé par une offre élargie de modèles électriques et par des annonces très médiatisées sur leurs objectifs en termes d'électrification de leur gamme. Pour autant, le chemin vers l'électrique reste long et parsemé d'obstacles. De nombreux défis doivent en effet encore être rencontrés, tels qu'assurer la mise en place d'une infrastructure de recharge adaptée, anticiper les problèmes qui ne manqueront pas de survenir concernant les capacités de production dans leur ensemble et, surtout, convaincre de potentiels acheteurs toujours dubitatifs face aux prix d'achat et à l'autonomie de ces véhicules rechargeables."
"En annonçant la fin de la commercialisation des voitures à moteur à combustion pour 2035, l'Union européenne impose au secteur de la construction automobile un timing concret pour solder l'ère des moteurs thermiques. Dans ce contexte, la filière électrique rechargeable – composée de voitures 100 % électriques et de voitures hybrides rechargeables –, qui se résumait à peu de choses il y a dix ans encore, représente désormais une dizaine de ...

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