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International Journal of Human Resource Management - vol. 27 n° 11-12 -

International Journal of Human Resource Management

"The available literature on self-initiated expatriates (SIEs) is generally based on the assumption that SIEs are protean in character and manage their careers independently. The current qualitative empirical study offers an alternative to this assumption, using 23 interviews with Western SIEs employed by local organizations in China to examine how and why SIEs target obtaining a labour market fit through career self-management behaviour, particularly in culturally distant career contexts. The assessment of the career self-management behaviour of Western SIEs was undertaken using King's framework (2004). Three approaches to self-management behaviour were identified based on the motivation and outcome expectations of SIEs: labour market entry, employability maintenance and career advancement. The research illustrates the flexible and dynamic nature of career self-management behaviour and reflects individuals' revised career expectations and the employment context of the host country. The findings contribute to the extant theory on SIEs by illustrating emerging means of realizing international careers in cross-cultural career contexts, and the significance of third-party initiatives supporting expatriation facilitated by the Internet and social media. "
"The available literature on self-initiated expatriates (SIEs) is generally based on the assumption that SIEs are protean in character and manage their careers independently. The current qualitative empirical study offers an alternative to this assumption, using 23 interviews with Western SIEs employed by local organizations in China to examine how and why SIEs target obtaining a labour market fit through career self-management behaviour, ...

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13.03.1-68836

Odile Jacob

"Fixer ses objectifs, travailler où l'on veut, ne recevoir d'ordres de personne... le tout en accord avec son employeur et en bénéficiant des protections sociales. Sur fond de rejet du salariat et d'hymne à la liberté individuelle, l'autonomie est au coeur des enjeux du travail d'aujourd'hui. Mais derrière les discours et les affichages se cache une tout autre réalité. Que veut dire être libre dans son travail si cette liberté s'accompagne de captures d'écran, d'écoutes ou d'obligations de reporting quotidiennes ? Les salariés ne sont pas autonomes s'ils sont sous laisse électronique. Ils ne le sont pas davantage si leur charge de travail est telle qu'elle les conduit à négliger leur santé et leur vie privée. Avec ce livre, Pascal Lokiec pointe les ambiguïtés du discours sur l'autonomie et définit les conditions pour que l'aspiration des nouvelles générations à être libres dans leur travail ne les pousse plus en dehors du salariat. Dès lors, c'est à une autonomie aménagée que doivent réfléchir les entreprises si elles veulent attirer et retenir les salariés tout en respectant leurs droits sociaux et humains."
"Fixer ses objectifs, travailler où l'on veut, ne recevoir d'ordres de personne... le tout en accord avec son employeur et en bénéficiant des protections sociales. Sur fond de rejet du salariat et d'hymne à la liberté individuelle, l'autonomie est au coeur des enjeux du travail d'aujourd'hui. Mais derrière les discours et les affichages se cache une tout autre réalité. Que veut dire être libre dans son travail si cette liberté s'accompagne de ...

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Labor History - vol. 58 n° 1 -

Labor History

"The aim of this article is to show how at the beginning of the 1970s a community of workers in Besançon in France reacted to globalization. It deals with the culture of the working class in a French province, the level of organization of the community and how it reacted when ‘its' factory was taken over by a multinational company. In seeking to understand this transformation and how the workers perceived it, it is crucial to investigate the changing role of the state. All these aspects will be developed in the sections below with the aim of better understanding the meaning of the strategy of workers' resistance in the face of a change that affected the community, the sector of production, the region and, ultimately, the working class within the Western societies."
"The aim of this article is to show how at the beginning of the 1970s a community of workers in Besançon in France reacted to globalization. It deals with the culture of the working class in a French province, the level of organization of the community and how it reacted when ‘its' factory was taken over by a multinational company. In seeking to understand this transformation and how the workers perceived it, it is crucial to investigate the ...

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Labor History - vol. 58 n° 1 -

Labor History

"The socialist factory, as the ‘incubator' of the new socialist (wo)man, is a productive entry point for the study of socialist modernization and its contradictions. By outlining some theoretical and methodological insights gathered through field-research in factories in former Yugoslavia, we seek to connect the state of labour history in the Balkans to recent breakthroughs made by labour historians of other socialist countries. The first part of this article sketches some of the specificities of the Yugoslav self-managed factory and its heterogeneous workforce. It presents the ambiguous relationship between workers and the factory and demonstrates the variety of life trajectories for workers in Yugoslav state-socialism (from model communists to alienated workers). The second part engages with the available sources for conducting research inside and outside the factory advocating an approach which combines factory and local archives, print media and oral history."
"The socialist factory, as the ‘incubator' of the new socialist (wo)man, is a productive entry point for the study of socialist modernization and its contradictions. By outlining some theoretical and methodological insights gathered through field-research in factories in former Yugoslavia, we seek to connect the state of labour history in the Balkans to recent breakthroughs made by labour historians of other socialist countries. The first part ...

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03.04-65279

Syllepse

"Lorsqu'une entreprise fait faillite ou est volontairement fermée par ses propriétaires, le chômage n'est pas l'avenir inéluctable auquel sont condamnés ceux qui y travaillent. Une autre issue est parfois possible : la reprise de la production par les salariés eux-mêmes et l'émergence d'une entreprise sans patron. Une nouvelle démocratie sociale se dessine alors dans laquelle la production n'est plus soumise au profit. Une nouvelle façon de produire et de consommer s'invente. Avec Coopératives contre capitalisme, l'auteur nous propose un tour d'horizon de ces nouvelles coopératives, en France, en Grèce, en Italie et en Espagne. Benoît Borrits démontre, exemples et chiffres à l'appui, que loin d'être un handicap, une entreprise dirigée par ses salariés a plus de change de survie qu'une société de capitaux.
Dès lors, pourquoi ne pas envisager ces reprises sur un mode offensif. L'auteur interroge la "panne" du modèle post-keynésien et démontre en quoi ces "expériences" peuvent constituer un débouché aux luttes sociales. Enfin, il développe des propositions économiques concrètes qui faciliteraient les reprises dans une perspective de généralisation et de transformation sociale. Un autre avenir pourrait alors s'inventer dans lequel les coopératives et les Scop seraient les premières marches d'une alternative au capitalisme."
"Lorsqu'une entreprise fait faillite ou est volontairement fermée par ses propriétaires, le chômage n'est pas l'avenir inéluctable auquel sont condamnés ceux qui y travaillent. Une autre issue est parfois possible : la reprise de la production par les salariés eux-mêmes et l'émergence d'une entreprise sans patron. Une nouvelle démocratie sociale se dessine alors dans laquelle la production n'est plus soumise au profit. Une nouvelle façon de ...

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05-65197

Syllepse

"Usines autogérées, piqueteros, assemblées populaires, cacerolazos, luttes paysannes, l'Argentine bouillonnante de la fin du 20e siècle et de ce début du 21e siècle cherche à tâtons ses voies de sortie de la catastrophe dévastatrice qui la frappe. Guillermo Almeyra nous propose une histoire de ses acteurs, de leur mode d'organisation, de leur créativité sociale et politique, de leurs succès mais aussi de leurs carences. L'autogestion, au cœur de l'activité de ces mouvements, est devenue une réponse concrète, alternative au désastre économique. Les associations de voisins, comme celles des piqueteros, font émerger de nouvelles
sociabilités et de nouveaux acteurs, hors des usines en friche. Nuancé dans son approche, l'auteur n'oublie cependant pas de souligner les tendances régressives qui accompagnent ces élans : remontée des mysticismes, violence et délinquance... Il revient aussi sur les expériences autogestionnaires passées de l'Algérie de Ben Bella à la Pologne de Solidarnosc et interroge les processus en cours dans l'ensemble de l'Amérique latine. L'édition argentine de ce livre a été produite par une imprimerie autogérée. Celle-ci, encerclée par la police, a dû évacuer clandestinement les ouvrages qui ont pu être mis en vente dès le lendemain en librairie."
"Usines autogérées, piqueteros, assemblées populaires, cacerolazos, luttes paysannes, l'Argentine bouillonnante de la fin du 20e siècle et de ce début du 21e siècle cherche à tâtons ses voies de sortie de la catastrophe dévastatrice qui la frappe. Guillermo Almeyra nous propose une histoire de ses acteurs, de leur mode d'organisation, de leur créativité sociale et politique, de leurs succès mais aussi de leurs carences. L'autogestion, au cœur de ...

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13.06.7-65013

Syllepse

"Emergées dans la foulée de la débâcle de l'économie argentine, les entreprises récupérées par leurs travailleurs ont démontré la possibilité d'une économie et d'une société sans patrons et gérées par les salariés. Il s'agit ici bel et bien d'autogestion, dont la problématique peut ainsi être envisagée à l'échelle de la société tout entière. Depuis plus de dix ans, ces entreprises récupérées produisent, font vivre des milliers de salarié-es et se multiplient. Il ne s'agit donc pas d'un lointain souvenir de la crise de 2001, mais d'une pratique sociale durablement ancrée dans la réalité argentine et plus largement latino-américaine. Fruit d'une recherche mené au sein de l'Université de Buenos Aires, ce livre nous invite à la découverte de cette «construction collective de l'autogestion». Les entreprises récupérées ont concrétisé la capacité des travailleurs à mettre en fonctionnement des établissements considérés comme non viables par les capitalistes et la technocratie économique. Elles ont ouvert la voie à la possibilité d'une autre économie et d'une société fonctionnant sur d'autres critères que la rentabilité capitaliste. Ces expériences sans patrons nous interpellent fortement en attirant notre regard sur la trace laissée en France par Lip et qui s'incarne aujourd'hui à Fralib et à la Fabrique du Sud."
"Emergées dans la foulée de la débâcle de l'économie argentine, les entreprises récupérées par leurs travailleurs ont démontré la possibilité d'une économie et d'une société sans patrons et gérées par les salariés. Il s'agit ici bel et bien d'autogestion, dont la problématique peut ainsi être envisagée à l'échelle de la société tout entière. Depuis plus de dix ans, ces entreprises récupérées produisent, font vivre des milliers de salarié-es et ...

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03.04-64060

Syllepse

"Au cœur même de la crise du capitalisme, se manifeste une volonté de «?prendre ses affaires en mains?»?: on occupe des entreprises, on se saisit de l'outil de travail, on remet en marche la production et on rédige des plans alternatifs.

On voit ainsi se manifester ce que Marx désignait comme le «?triomphe?» de l'«?économie politique du travail?» sur l'«?économie politique de la propriété?»?: «?Nous voulons parler du mouvement coopératif et surtout des manufactures coopératives […]. Elles ont montré par des faits, non plus par de simples arguments, que la production sur une grande échelle et au niveau des exigences de la science moderne pouvait se passer d'une classe de patrons employant une classe de salariés?; elles ont montré qu'il n'était pas nécessaire pour le succès de la production que l'instrument de travail fût monopolisé et servît d'instrument de domination et d'extorsion contre le travailleur lui-même?; elles ont montré que comme le travail esclave, comme le travail serf, le travail salarié n'était qu'une forme transitoire et inférieure, destinée à disparaître devant le travail associé.?»

La coopération de toutes et de tous fournit le terreau sur lequel un monde post-capitaliste peut se développer et met à l'ordre du jour l'appropriation et la réorganisation des entreprises décisives.

Le renversement du capitalisme et la possible renaissance du communisme sont présents dans les conditions mêmes des luttes actuelles. Tout cela souligne l'intérêt de revisiter les textes de Marx."
"Au cœur même de la crise du capitalisme, se manifeste une volonté de «?prendre ses affaires en mains?»?: on occupe des entreprises, on se saisit de l'outil de travail, on remet en marche la production et on rédige des plans alternatifs.

On voit ainsi se manifester ce que Marx désignait comme le «?triomphe?» de l'«?économie politique du travail?» sur l'«?économie politique de la propriété?»?: «?Nous voulons parler du mouvement coopératif et ...

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