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"Il lavoro affronta il tema dell'innovazione organizzativa nell'impresa, mettendolo in rapporto con la progressiva affermazione dell'economia della conoscenza nell'attuale fase di sviluppo e con i conseguenti problemi di valorizzazione del capitale umano dei lavoratori. Dopo un'analisi storica dei punti di convergenza teorica tra l'economia della conoscenza, la teoria della crescita e la teoria dell'impresa, si affrontano le ragioni dell'incertezza strutturale che caratterizza le attività di "knowledge management", in ragione delle peculiarità che l'analisi economica riconosce al bene conoscenza e alla sua transazione. Viene quindi esaminato il tema della gestione della conoscenza ai fini dell'innovazione organizzativa, alla luce degli schemi logici dei modelli della "produzione snella" e dell'"organizzazione che apprende", e nella prospettiva della trasformazione della conoscenza in competenza. Vengono infine messi in luce i problemi connessi alla creazione di comunità di conoscenza nell'impresa e alla corrispondente diffusione della competenza della "partecipazione cognitiva"."

"Cet article propose une analyse de la place accordée à la transmission des compétences et des savoirs professionnels dans le contrat de génération. Il s'appuie sur une lecture critique du texte de la loi du 1er mars 2013 et des documents destinés aux employeurs, sous le regard croisé d'une économiste et d'une ergonome. Dans le contrat de génération, les enjeux assignés à la transmission tendent à réduire son champ d'action et les modalités envisagées ne prennent pas explicitement en compte les conditions réelles de travail dans lesquelles la transmission s'opère. Les exigences de contenu posées par la loi, le décret et la circulaire, mais aussi par les documents périphériques, révèlent en outre un certain glissement par rapport aux prémisses du dispositif et la place très secondaire donnée à la transmission. Au final, la transmission dans le contrat de génération apparaît comme un objectif flou, relégable et relégué."

"Non loin de Liège se dresse un vestige de l'histoire de l'industrie Belge : le Hasard de Cheratte. Non loin de ce vestige vivent encore les familles des mineurs qui y ont travaillé. Axel Ruhomaully et Franck Depaifve ont consacré plus d'un an et demi à récolter la mémoire de ces lieux et de ces hommes, fédérant autour d'eux des artistes d'univers aussi variés que le Street-Art, la bande dessinée ou l‘urban sketching. Le temps ayant dilué la mémoire des hommes, les auteurs ont décidé de laisser la parole aux images."

"This article casts light on the increasingly complex geography of innovation and knowledge sourcing activities. We argue that the spatial patterns of learning and knowledge exchange vary substantially across different types of regions and industries. The article elucidates such variations by combining three analytical approaches, namely, (i) modes of innovation (differentiating between science-technology-innovation (STI) and doing-using-interacting (DUI) modes), (ii) regional innovation systems (distinguishing between organizationally thick and diversified, thick and specialized, and thin systems), and (iii) types of knowledge linkages that connect actors during the innovation process. We explore in detail the key characteristics of the spatial architectures of innovation and knowledge flows in STI and DUI industries located in regional innovation systems with varying degrees of organizational thickness and specialization. We also discuss empirical examples documented in the extant literature to illustrate our arguments on how innovation and knowledge circulation unfold in space in various territorial and industrial contexts."

"Les trois tomes s'enchaînent selon une logique chronologique (1. De la Renaissance aux Lumières ; 2. Modernité et globalisation, 1770-1914, 3. Le siècle des technosciences, depuis 1914) mais sont structurés selon une même organisation thématique. Ils dégagent dans un premier temps ce qu'est la science à chaque époque et comment elle s'inscrit dans la société et la culture de la période, puis offrent un panorama de l'évolution des principaux champs et disciplines phares, et enfin replacent les évolutions scientifiques dans l'histoire globale et dans les enjeux de gouvernement (de la nature, de la société, etc.). Du pouvoir de l'atome au consumérisme high-tech, de la guerre à la médecine et à l'agriculture, du pilotage de l'innovation et la gestion du social à la surveillance du climat, rares sont les fragments de notre réalité qui n'ont pas été transformés par les sciences, les techniques et les savoirs au cours de ce dernier siècle. Ce troisième tome nous fait entrer dans les coulisses des mondes universitaires, administratifs et économiques. Il explore la fabrique des savoirs, éclaire leur mise en économie, la manière dont les questions sanitaires et écologiques sont gérées, comme la diversité des connaissances produites par les amateurs, les associations et les think tanks. Un volume novateur écrit par les meilleurs spécialistes et qui donne toute la mesure des sciences et des savoirs dans notre monde contemporain - pour le meilleur... et pour le pire."

"Les trois tomes s'enchaînent selon une logique chronologique (1. De la Renaissance aux Lumières ; 2. Modernité et globalisation, 1770-1914 ; 3. Le siècle des technosciences, depuis 1914) mais sont structurés selon une même organisation thématique. Ils dégagent dans un premier temps ce qu'est la science à chaque époque et comment elle s'inscrit dans la société et la culture de la période, puis offrent un panorama approfondi de l'évolution des principaux champs et disciplines phares, et enfin replacent les évolutions scientifiques dans l'histoire globale et dans les enjeux de gouvernement (de la nature, des corps, des savoirs, de la société, du progrès, de ses risques, etc.). Se donnant comme "la Modernité", les années 1770 à 1914 sont le temps de l'industrialisation et de l'expansion impériale et coloniale. La science est victorieuse, la technique est reine, la Terre est quadrillée et mesurée, les populations sont mises en nombres, les races sont cartographiées. Laboratoires, universités et musées se répandent à l'échelle planétaire. Réunissant les contributions de spécialistes des quatre coins du monde, ce deuxième tome de l'Histoire des sciences et des savoirs nous parle des sciences physiques et des mathématiques, des sciences et des savoirs en Inde, de la révolution Meiji et du "provincialisme" colonial des sciences américaines. Il raconte aussi l'avènement des microbes et leur impact sur les sociétés, l'engouement populaire pour les expositions universelles et, déjà, les inquiétudes des contemporains face à la détérioration du climat. Un livre concret qui brosse un XIXe siècle fascinant et... inquiétant."

"Les trois tomes s'enchaînent selon une logique chronologique (1. De la Renaissance aux Lumières ; 2. Modernité et globalisation, 1770-1914 ; 3. Le siècle des technosciences, depuis 1914) mais sont structurés selon une même organisation thématique. Ils dégagent dans un premier temps ce qu'est la science à chaque époque et comment elle s'inscrit dans la société et la culture de la période, puis offrent un panorama approfondi de l'évolution des principaux champs et disciplines phares, et enfin replacent les évolutions scientifiques dans l'histoire globale et dans les enjeux de gouvernement (de la nature, des corps, des savoirs, de la société, du progrès, de ses risques, etc.). Savants, médecins, administrateurs, artisans et amateurs composent le monde des sciences à l'époque moderne. Des mathématiques mixtes au triomphe de l'histoire naturelle, de la cartographie à la question des races, de la philosophie naturelle à l'économie politique, et des jardins botaniques aux théâtres d'anatomie, les circulations sont nombreuses qui nous permettent d'enrichir les histoires disciplinaires. Mais cet ancien régime des sciences et des savoirs ne se limite pas à l'Europe, il s'embarque avec les marins, les marchands et les missionnaires, dans l'océan Indien, au Mexique, en Chine - à la conquête du monde. Premier tome d'une ambitieuse Histoire des sciences et des savoirs depuis la Renaissance, cet ouvrage, écrit par les meilleurs spécialistes, propose une autre lecture du lien entre sciences et première modernité. En suivant les savants au travail, il nous permet aussi d'en finir avec les représentations trop classiques de la "révolution scientifique"."

"This paper examines how contextualised knowledge about safety matters shaped the performance of machinery manufacturers for three substantive safety outcomes – hazard recognition, risk control and safety information. These issues were investigated in qualitative research with 66 Australian firms that designed and constructed machinery for supply into local and international markets. The paper identifies the constituents of safety knowledge, and clarifies the relatively minor roles of regulatory sources (Australian and European) and the specialist body of knowledge (human factors/ergonomics, safety engineering), compared with learning about safety through design and construction activities and interactions (learning through practice). Individual factors also played a role as key decision makers had diverse professional and vocational (trade) backgrounds, and personal histories from which to interpret their experiences. Certain practices and individual factors sustained better performance for the substantive safety outcomes. The paper makes conceptual contributions to explain the construction of safety knowledge, drawing on established theories of learning (social constructivism) and decision making (bounded rationality), and concludes with some strategic directions for building capacity through practice-based programs which structure opportunities to learn about safety around authentic design and construction activities."

"Was passiert mit dem Wissen von Betriebs- und Personalratsmitgliedern, die in den Ruhestand gehen? Während die Frage nach einem Wissenstransfer zwischen ausscheidenden Älteren und nachrückenden Jüngeren in den Arbeitsorganisationen schon in einem unterschiedlichen Maße untersucht wurde, stellt sich das für die betrieblichen Interessenvertretungen noch etwas anders dar. Hier anzusetzen und sowohl theoretische als auch praktische Lösungen zu erarbeiten, war sowohl im Hinblick auf die Qualität der Mitbestimmung in Deutschland als auch für den Umgang mit dem demografischen Wandel und dem Miteinander der Generationen im betrieblichen Kontext bedeutsam.Der hier vorliegende erste Band zu der von der Hans-Böckler-Stiftung geförderten Studie ?Wissenstransfer von ausscheidenden Interessenvertretungsmitgliedern? untersucht zum ersten Mal empirisch den Wissenstransfer im Betriebsratsgremium, indem ? insbesondere quantitative ? Daten herangezogen werden, um Einflussfaktoren auf den Wissenstransferprozess zu erklären. Als Zielgruppe soll dieser Band vor allem die Wissenschaftler/innen ansprechen.(Auch in dieser Edition: Band 2, ?Werkzeugkasten Wissenstransfer? ? Entwicklung einer praktischen Handlungshilfe für Betriebs- und Personalräte)."

"Was passiert mit dem Wissen von Betriebs- und Personalratsmitgliedern, die in den Ruhestand gehen? Während die Frage nach einem Wissenstransfer zwischen ausscheidenden Älteren und nachrückenden Jüngeren in den Arbeitsorganisationen schon in einem unterschiedlichen Maße untersucht wurde, stellt sich das für die betrieblichen Interessenvertretungen noch etwas anders dar. Hier anzusetzen und sowohl theoretische als auch praktische Lösungen zu erarbeiten, war sowohl im Hinblick auf die Qualität der Mitbestimmung in Deutschland als auch für den Umgang mit dem demografischen Wandel und dem Miteinander der Generationen im betrieblichen Kontext bedeutsam. Der hier vorliegende zweite Band zu der von der Hans-Böckler-Stiftung geförderten Studie ?Wissenstransfer von ausscheidenden Interessenvertretungsmitgliedern? beschreibt die Entwicklung und Erprobung eines Werkzeugkastens für einen selbstorganisierten Wissensaustausch in und zwischen Betriebs- und Personalräten und soll damit vor allem die Praktiker/innen als Zielgruppe ansprechen.(Auch in dieser Edition: Band 1, ?Einflussgrößen auf den Wissenstransfer in der betrieblichen Interessenvertretung ? Eine empirische Untersuchung?)."