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Negli anni Settanta si assiste ai primi segnali di crisi del modello fordista di produzione dovuta alla diffusione dell'elettronica, alla differenziazione dei mercati e destandardizzazione dei prodotti e soprattutto alla crisi di consenso da parte della forza lavoro verso un modo di lavorare povero e dequalificato. Imprenditori, sindacati e Governi - in particolar modo nei paesi scandinavi e in Germania - diedero luogo a programmi congiunti di partecipazione "istituzionale" per la sperimentazione di nuove forme di organizzazione del lavoro. A oltre 40 anni di distanza, i nuovi paradigmi organizzativi ispirati al toyotismo e al "lean manufacturing" ripropongono in modi diversi il coinvolgimento dei lavoratori, prevalentemente attraverso il lavoro di gruppo e i sistemi di suggerimenti dal basso per il miglioramento continuo. Diversamente dalle precedenti, si tratta di esperienze di partecipazione "diretta" il cui unico o prevalente canale di promozione, per quanto riguarda l'Italia, è l'impresa. Il confronto tra queste due esperienze e l'analisi delle ragioni del successo e dell'insuccesso dell'una e dell'altra possono consentire una migliore comprensione delle vie che si aprono alle parti sociali e alle relazioni industriali per contribuire al miglioramento della produttività e insieme della qualità del lavoro."

"Peugeot Sochaux, le plus grand site industriel de France, une ville-usine. Un lieu qui a vécu au cours du dernier demi-siècle, la formidable croissance de la production de masse puis sa crise, l'apogée des usines, leur remise en cause et leur redéploiement. Une référence de choix pour étudier le présent et le passé de la vie d'usine, que trop souvent on ne sait plus voir.

Ce livre explore les ateliers de la carrosserie, qui regroupent les chaînes de montage des voitures. Là où se coordonnent les efforts des dizaines de milliers d'hommes et de femmes employés à produire des voitures. L'histoire qu'il retrace passe par les techniques, les règles et les façons de faire; par les projets, les accords et les refus. Elle n'esquive pas les grippages ou les intempéries, l'absentéisme ou les malices des installations, qui colorent la vie de ce monde de la production.

Ancrée dans l'intérieur des ateliers, l'histoire déborde leurs murs. Selon les époques, la vie d'usine s'agence aussi dans les rythmes du travail, dans le logement ou les transports. A travers ces manières de vivre, la trajectoire du site rencontre les dynamiques d'une région dont il est devenu le cœur économique.

Pour écrire cette histoire, ce livre confronte les archives de l'entreprise et du site aux témoignages d'ouvriers et d'agents de maîtrise, de techniciens et de cadres, de syndicalistes et de directeurs. Il restitue les visages, les actions, et les paroles de ces gens d'usine."

L'augmentation des accidents du travail au cours des trois dernières années s'explique en partie par l'amélioration de la situation économique. Les occasions d'accidents augmentent, en effet, avec l'accroissement du nombre d'heures travaillées. Le risque d'accident par heure travaillée s'accroît lui aussi avec la reprise de l'activité. Les analyses économétriques confirment en outre sa sensibilité aux fluctuations du cycle conjoncturelle. Depuis la fin des années 1980, enfin, on assiste à un ralentissement de la tendance à la baisse du risque d'accident.

"We study the relation between the off-shoring of intermediates and services and productivity growth in the Italian manufacturing industries in 1995-2003. Our results indicate that the off-shoring of intermediates within the same industry (“narrow off-shoring”) is beneficial for productivity growth, while the off-shoring of services is not. We also find that the way in which off-shoring is measured may matter considerably. The positive relation between off-shoring of intermediates and productivity growth is there with our direct measures based on input-output data but disappears when either a broad measure or the Feenstra-Hanson off-shoring measure employed in other studies are used instead."