By browsing this website, you acknowledge the use of a simple identification cookie. It is not used for anything other than keeping track of your session from page to page. OK

Documents film catalogue 11 results

Filter
Select: All / None
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

AVM-65873

Ciné-Archives

"Les seize films de ce coffret DVD témoignent de la diversité de la cinématographie initiée par les milieux communistes dans les années 1930. Fictions, documentaires, actualités se côtoient autour de La Vie est à nous, œuvre collective dirigée par Jean Renoir pour les élections législatives de 1936. Dès le milieu des années 1930, le PCF et la CGT s'emparent du cinéma, média de masse par excellence. L'afflux d'adhésions du printemps 1936 leur apporte des fonds nouveaux, ainsi qu'un vivier de membres professionnels du cinéma. C'est dans ce contexte qu'est créée Ciné-Liberté, coopérative de production et de diffusion de films hors du circuit commercial. Participent à la fabrication des films des cinéastes venus de toute la gauche, et un grand nombre de techniciens membres du PCF et de la CGT.
L'origine militante de ces films est perceptible dès leurs cartons de générique : anonymes et collectifs, ils renvoient uniquement à l'organe militant qui les produit. Les images du Front Populaire ont durablement marqué la mémoire collective. De fait, quatre-vingts ans plus tard, la joie de vivre éclatante des grévistes à l'écran est toujours aussi communicative."
"Les seize films de ce coffret DVD témoignent de la diversité de la cinématographie initiée par les milieux communistes dans les années 1930. Fictions, documentaires, actualités se côtoient autour de La Vie est à nous, œuvre collective dirigée par Jean Renoir pour les élections législatives de 1936. Dès le milieu des années 1930, le PCF et la CGT s'emparent du cinéma, média de masse par excellence. L'afflux d'adhésions du printemps 1936 leur ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Clio. Femmes, Genre, Histoire - n° 38 -

Clio. Femmes, Genre, Histoire

"L'article étudie les représentations des ouvrières dans des films réalisés au cours des cinquante dernières années, dont la plupart sont l'œuvre de réalisatrices. La diversité de cet ensemble traduit les évolutions du monde du cinéma et les variations de point de vue entre régions du monde. Cependant ces films montrent, souvent, la pénibilité singulière des travaux attribués aux ouvrières, dans certaines branches industrielles. Une partie d'entre eux se concentrent sur les luttes menées contre la dureté et les contraintes du travail, et, en Europe de l'Ouest, contre les fermetures d'entreprises. Les inégalités ou contradictions de genre sont abordées aussi bien au travail que dans les autres aspects de la vie de ces femmes, parfois dans le cœur même des luttes. Enfin, la dignité des ouvrières est une préoccupation présente dans la majeure partie des films."
"L'article étudie les représentations des ouvrières dans des films réalisés au cours des cinquante dernières années, dont la plupart sont l'œuvre de réalisatrices. La diversité de cet ensemble traduit les évolutions du monde du cinéma et les variations de point de vue entre régions du monde. Cependant ces films montrent, souvent, la pénibilité singulière des travaux attribués aux ouvrières, dans certaines branches industrielles. Une partie ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

13.01.1-63699

Presses Universitaires de Rennes

"Qu'il soit vécu comme libérateur ou contraignant, le travail est omniprésent dans nos sociétés alors même qu'il peut y être insuffisant voire absent. Avec ces deuxièmes rencontres Droit et cinéma : regards croisés, l'occasion nous est donnée de mesurer la portée à la fois cinématographique et juridique du travail.

En effet, le cinéma n'hésite pas à se saisir du travail pour en révéler la diversité – travail agricole, industriel, tertiaire –, la complexité et la violence. Par le truchement de la caméra, le 7e art s'empare du travail en nous faisant passer de la comédie au thriller ou encore du documentaire au film de guerre. Le contrat de travail, symbole de la relation nouée entre le salarié et l'employeur, rappelle la dimension juridique du travail. Celui-ci s'inscrit en effet dans un ensemble de règles à la fois contraignantes et protectrices dont la représentation est un défi pour le cinéma. Embauche, licenciement, conflits du travail constituent donc le moyen pour celui-ci d'évoquer le droit social. Mais le cinéma repousse aussi les frontières de ce dernier, nous invitant à voir dans « le contrat du tueur un contrat de travail comme les autres ».

Miroir de la société qu'il capture, le cinéma apparaît comme le révélateur du contexte politique et idéologique dans lequel s'inscrivent les réalisateurs. Qu'il se fasse dénonciateur de l'inhumanité du travail ou qu'il soit porteur d'espoir, le cinéma dévoile les évolutions du travail et du droit. Ainsi, le travail, tant à l'écran qu'en coulisses, fait du cinéma un instrument de recherche en droit social."
"Qu'il soit vécu comme libérateur ou contraignant, le travail est omniprésent dans nos sociétés alors même qu'il peut y être insuffisant voire absent. Avec ces deuxièmes rencontres Droit et cinéma : regards croisés, l'occasion nous est donnée de mesurer la portée à la fois cinématographique et juridique du travail.

En effet, le cinéma n'hésite pas à se saisir du travail pour en révéler la diversité – travail agricole, industriel, tertiaire –, ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

05-63675

Syllepse

"La classe ouvrière c'est pas du cinéma! Alors, qu'est-ce donc ? La classe ouvrière, ce n'est pas seulement hier, même si conscience de classe suppose conscience d'une histoire. C'est l'histoire de Gabin dans sa locomotive et celle de Lantier dans son puits de mine. Celle de la Commune de Peter Watkins et celle de l'après-Mai 68 de Hervé Le Roux. C'est, aussi, celles du mineur mexicain de Silver City, du docker des quais de Marseille, des ouvrières et des ouvriers de Cellatex. C'est celle de la femme de ménage sans papiers de Los Angeles, celles de Norma Rae et de la caissière d'un supermarché de Gironde. C'est celle du commercial de France Télécom qui se suicide et celle d'Ariane Ascaride dans son HLM. C'est encore celles du traminot de Mexico et de la femme qui a pris la colère. C'est celles de l'ouvrière de Yema et des grévistes de Lip, celles du technicien de chez Dassault et du fondeur de Fumel, du gemmeur de Gascogne et des brûleurs de Tanger… Le cinéma semble depuis peu se préoccuper davantage du « monde de l'entreprise » et satisfaire un désir croissant d'au moins une partie du public.

Alors qu'en est-il ? La réponse, les réponses ne sont-elles pas à chercher dans une profonde mutation de la classe ouvrière d'une part, dans une volonté politique délibérée de nier son existence d'autre part ? Voici de quoi s'interroger, débattre, se mettre en mouvement avec des films, sans se faire de cinéma. C'est ce qu'ont entrepris, en 2004, l'association Espaces Marx Aquitaine et le cinéma Utopia Bordeaux, en inventant les Rencontres cinématographiques « La classe ouvrière, c'est pas du cinéma ». Il était apparu nécessaire aux organisateurs de ces Rencontres de réfléchir sur la place que les « ouvriers », les « travailleurs », ceux de « la base » occupent aujourd'hui, et depuis plus d'un siècle, dans la production cinématographique. Il fallait tenter de répondre à quelques questions. Quelle représentation le cinéma donne-t-il du monde du travail ? Quelle place accorde-t-il au vécu des travailleurs et à leurs luttes ?

Cent quarante films plus tard, davantage d'invités (réalisateurs, critiques, universitaires, militants) pour des débats, renouant avec le meilleur de la tradition des ciné-clubs, avec quelque douze mille spectateurs, les protagonistes de ce « festival qui dit ne pas en être un » ont mis en livre leur plaisir de cinéma, dans la poursuite d'un travail d'éducation populaire (Espaces Marx) et d'une programmation exigeante de chaque jour (Utopia). Un « bilan d'étape » à l'occasion des dixièmes Rencontres, en février 2013."
"La classe ouvrière c'est pas du cinéma! Alors, qu'est-ce donc ? La classe ouvrière, ce n'est pas seulement hier, même si conscience de classe suppose conscience d'une histoire. C'est l'histoire de Gabin dans sa locomotive et celle de Lantier dans son puits de mine. Celle de la Commune de Peter Watkins et celle de l'après-Mai 68 de Hervé Le Roux. C'est, aussi, celles du mineur mexicain de Silver City, du docker des quais de Marseille, des ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

08.13-62950

Cinematek

"Au siècle dernier, la vie de la mine a souvent été portée à l'écran. Les films ont longtemps contribué à véhiculer une image positive de l'industrie minière et à attirer la main-d'œuvre, qu'elle soit belge ou étrangère, dans les bassins en quête de nouvelles recrues. L'actualité a d'ailleurs joué un grand rôle, comme dans le cas de la catastrophe de Marcinelle en 1956 et lors des grèves organisées à la fermeture des sites. Pour certains cinéastes, la mine sert également de décor au mélodrame et à la fiction. En témoigne le film muet Au pays des ténèbres, réalisé en 1911 par Victorin H. Jasset. En collaboration avec les archives audiovisuelles et les plus importantes institutions de patrimoine minier, CINEMATEK a sélectionné 14 films représentatifs de la belle époque des charbonnages belges."
"Au siècle dernier, la vie de la mine a souvent été portée à l'écran. Les films ont longtemps contribué à véhiculer une image positive de l'industrie minière et à attirer la main-d'œuvre, qu'elle soit belge ou étrangère, dans les bassins en quête de nouvelles recrues. L'actualité a d'ailleurs joué un grand rôle, comme dans le cas de la catastrophe de Marcinelle en 1956 et lors des grèves organisées à la fermeture des sites. Pour certains ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Le Mouvement social - n° 226 -

Le Mouvement social

"Au cours des années 1960, considérées comme l'apogée de l'ouvriérisation de la société française, les représentations cinématographiques des ouvriers connaissent des ruptures significatives. Le changement ne vient pas des œuvres de fiction qui négligent généralement ce thème mais du film documentaire. Des cinéastes s'emploient à mettre au point une technique à base de caméra légère et de son synchrone, et mènent une réflexion sur la production d'un son, et particulièrement d'une parole, saisi directement dans les scènes filmées. Cette combinaison met en cause la tradition du documentaire, encombrée de matériels lourds et de coûts élevés, dépendante des financements institutionnels. Tandis que jusque-là les ouvriers faisaient office de figurants dans des films vantant la performance industrielle, le nouveau cinéma documentaire fait surgir des personnes à la fois banales et singulières. Leur parole en direct, prise ici dans les usines automobiles encore chargées d'une aura positive, provoque un puissant effet de vérité et fait perdre leur lustre aux Trente glorieuses. Après 1968, un nouveau courant, parmi les cinéastes, les critiques et les spectateurs de ce genre de films tend à faire de ces personnages des figures politiques et à attribuer à leur parole une fonction contestataire."
"Au cours des années 1960, considérées comme l'apogée de l'ouvriérisation de la société française, les représentations cinématographiques des ouvriers connaissent des ruptures significatives. Le changement ne vient pas des œuvres de fiction qui négligent généralement ce thème mais du film documentaire. Des cinéastes s'emploient à mettre au point une technique à base de caméra légère et de son synchrone, et mènent une réflexion sur la production ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks