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Social Europe -

London

"The European Parliament's committee exploring AI needs to give the floor to civil society. Big Tech has had enough influence."

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Brussels

"Key findings
• Some European far-right parties might increasingly talk left-wing but they continue largely to vote right-wing on socio-economic issues.
• Despite heterogeneity within the two far-right political groups in the European Parliament (2019–2024) – Identity and Democracy (ID) and the European Conservatives and Reformists (ECR) – overall, it remains the case that the far right is clearly unsupportive of workers' rights. The large majority of 18 far-right parties (out of 22) have voted against socio-economic initiatives at the European level.
• Although far-right Members of the European Parliament (MEPs) largely vote homogenously within their party, we find considerable heterogeneity on key socio-economic issues within ID and ECR, in particular on the issues of minimum corporate taxation for multinational companies and adequate minimum wages.
• While regional differences are relatively small, far-right parties in Northern Europe are particularly prone to voting right-wing on socio-economic issues.
• Poor voting discipline within the two groups indicates that socio-economic issues are not central to either ID or ECR."
"Key findings
• Some European far-right parties might increasingly talk left-wing but they continue largely to vote right-wing on socio-economic issues.
• Despite heterogeneity within the two far-right political groups in the European Parliament (2019–2024) – Identity and Democracy (ID) and the European Conservatives and Reformists (ECR) – overall, it remains the case that the far right is clearly unsupportive of workers' rights. The large ...

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01.03.8-65846

Brussels

"Five years after the last edition, completely revised and updated to the Treaty of Lisbon, and with a new cover, this book is the reference work for understanding the decision-making processes of the EU. Enriched by examples, diagrams and QR codes, The Practical Guide retains the structure, clarity and conciseness that have made it so successful since the first edition in 1991."

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01.03.8-65759

Bruxelles

"Dans un contexte de crise financière et économique, les élections européennes de juin 2014 ont exacerbé la désaffection des citoyens à l'égard de l'Union européenne telle qu'elle s'est construite jusqu'ici. Le constat n'est pas neuf mais l'entrée en nombre des formations eurosceptiques à Strasbourg en juin 2014 constitue une étape symbolique supplémentaire dans le processus. La représentativité des élus est ainsi de plus en plus essentielle à la structuration de l'Union européenne comme espace politique autonome. Elle justifie l'analyse des pratiques individuelles des parlementaires européens. Le présent ouvrage entend répondre à cet impératif en analysant le thème de la formation des compromis et des consensus parlementaires. Grâce à une comparaison originale avec la Chambre des représentants américaine, l'auteure dévoile les secrets de fabrication de ces compromis. Elle explore aussi les motivations des législateurs à s'engager dans des activités parfois laborieuses et coûteuses de construction de compromis. Elle souligne enfin l'importance des règles formelles de procédure comme des enjeux de carrière. De Washington à Strasbourg, les élus ne composent pas avec des aspirations personnelles et des mécanismes réglementaires très différents. L'ouvrage montre aussi la fragilité des équilibres obtenus. Aux Etats-Unis, l'émergence du Tea Party depuis la crise des subprimes illustre la conflictualité extrême entre républicains et démocrates. Dans l'Union européenne, la pression des groupes eurosceptiques, et plus fondamentalement la crise de confiance généralisée des citoyens, menacent la recherche des compromis au Parlement. Cette analyse questionne enfin la relation entre les pratiques parlementaires et la défiance populaire envers les deux systèmes politiques. Les élus européens peuvent-ils sortir l'Union européenne de la crise qu'elle traverse ? Si oui, comment ? Aux Etats-Unis, la confiance dans le Congrès et ses élus ne sort pas renforcée de la confrontation violente entre les deux partis. Les élites politiques américaines semblent de plus en plus déconnectées du peuple. Quelles leçons en tirer pour l'Union européenne ? L'affirmation d'oppositions entre élus de bords politiques opposés, souhaitée par nombre d'observateurs et de praticiens, n'est peut-être pas la panacée. Le système politique de l'Union européenne est unique, mais pas incomparable."
"Dans un contexte de crise financière et économique, les élections européennes de juin 2014 ont exacerbé la désaffection des citoyens à l'égard de l'Union européenne telle qu'elle s'est construite jusqu'ici. Le constat n'est pas neuf mais l'entrée en nombre des formations eurosceptiques à Strasbourg en juin 2014 constitue une étape symbolique supplémentaire dans le processus. La représentativité des élus est ainsi de plus en plus essentielle à ...

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Journal of Common Market Studies - vol. 54 n° 3 -

"Does the economy affect patterns of far-right party support across countries? This article reconceptualizes micro-level analyses that focus on the effect of unemployment through a framework of costs, risks and the mediating role of labour market institutions. It then derives several hypotheses and tests them on the results of the previous three EP elections in all EU Member States. Findings from multiple regression analyses indicate that unemployment, real GDP growth, debt and deficits have no statistically significant effect on far-right party support at the national level. By contrast, labour market institutions influence costs and risks: where unemployment benefits and dismissal regulations are high, unemployment has no effect, but where either one of them is low, unemployment leads to higher far-right party support. This explains why unemployment has not led to far-right party support in some European countries that experienced the severity of the 2008 eurozone crisis."
"Does the economy affect patterns of far-right party support across countries? This article reconceptualizes micro-level analyses that focus on the effect of unemployment through a framework of costs, risks and the mediating role of labour market institutions. It then derives several hypotheses and tests them on the results of the previous three EP elections in all EU Member States. Findings from multiple regression analyses indicate that ...

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Bruxelles

"Aux États-Unis, la question du changement climatique fait l'objet d'une polarisation politique tranchée. D'un côté, les républicains mettent en doute l'existence de ce phénomène physique (et a fortiori son origine humaine) et sont hostiles à toute mesure politique visant à le contrer. De l'autre, les démocrates reconnaissent la réalité du réchauffement climatique, l'estiment inquiétant et considèrent qu'il doit être combattu par des actions politiques.

Qu'en est-il en Europe ? Certes, le climato-scepticisme au sens strict représente une position très minoritaire parmi les formations politiques européennes. Mais de nombreux partis se montrent très réservés quant à l'importance du changement climatique en cours et s'opposent aux politiques climatiques nationales et européennes (notamment, au nom de la défense de la croissance économique). Ce type de discours se retrouve-t-il dans l'ensemble des familles politiques d'Europe ou est-il l'apanage de certaines d'entre elles ?

Pour répondre à cette question, les auteurs de ce Courrier hebdomadaire analysent les programmes électoraux élaborés par une cinquantaine de partis en vue du scrutin européen de mai 2014. Ces formations politiques sont examinées en trois temps : les principaux partis de Belgique, les partis des quatre pays comptant le plus grand nombre d'eurodéputés (Allemagne, France, Italie et Royaume-Uni), et les partis des familles conservatrice, populiste et d'extrême droite représentés au Parlement européen.

L'étude révèle que, même si elle est moins nette qu'aux États-Unis, il existe également une polarisation politique en Europe autour de la question du changement climatique."
"Aux États-Unis, la question du changement climatique fait l'objet d'une polarisation politique tranchée. D'un côté, les républicains mettent en doute l'existence de ce phénomène physique (et a fortiori son origine humaine) et sont hostiles à toute mesure politique visant à le contrer. De l'autre, les démocrates reconnaissent la réalité du réchauffement climatique, l'estiment inquiétant et considèrent qu'il doit être combattu par des actions ...

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Bruxelles

"En Belgique, les élections du 25 mai 2014 ont constitué un scrutin complexe, aux enjeux et aux effets multiples. Les citoyens ont été appelés à renouveler de manière directe six assemblées : la Chambre des représentants, le Parlement wallon, le Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale, le Parlement flamand, le Parlement de la Communauté germanophone et la représentation belge au Parlement européen. Cinq autres assemblées ont été renouvelées de manière indirecte, dont le Sénat et le Parlement de la Communauté française.



Le présent Courrier hebdomadaire est consacré au renouvellement du Parlement fédéral et à l'élection des représentants belges au Parlement européen. Il dégage les principaux enseignements du scrutin du 25 mai 2014, en mettant l'accent sur les modifications du paysage électoral qui en résultent. L'analyse des évolutions prend essentiellement pour point de comparaison les élections fédérales du 13 juin 2010 ou les élections européennes du 7 juin 2009.



Pour la Chambre des représentants, sont analysés le comportement électoral (en ce compris l'absentéisme et les votes non valables), les résultats à l'échelle de l'ensemble du pays et dans les différentes régions, les scores des partis politiques et la nouvelle composition de l'assemblée. Pour le Sénat, sont abordées la désignation des sénateurs émanant des entités fédérées et celle des sénateurs cooptés. Sont aussi présentées la constitution de la coalition gouvernementale et les attributions des membres du nouveau gouvernement fédéral. Pour l'élection de la représentation belge au Parlement européen, le plan est semblable à celui suivi pour la Chambre.



L'exposé est soutenu par une trentaine de cartes. Celles-ci permettent notamment de visualiser, canton par canton, les scores électoraux qu'ont obtenus, en 2010 et en 2014, les différentes listes actuellement représentées au Parlement fédéral."
"En Belgique, les élections du 25 mai 2014 ont constitué un scrutin complexe, aux enjeux et aux effets multiples. Les citoyens ont été appelés à renouveler de manière directe six assemblées : la Chambre des représentants, le Parlement wallon, le Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale, le Parlement flamand, le Parlement de la Communauté germanophone et la représentation belge au Parlement européen. Cinq autres assemblées ont été renouvelées ...

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