By browsing this website, you acknowledge the use of a simple identification cookie. It is not used for anything other than keeping track of your session from page to page. OK

Documents Salama, Pierre 6 results

Filter
Select: All / None
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

04.04-66284

Paris

"L'Etat capitaliste n'apparaît pas pour ce qu'il est. Sa nature est voilée. Il apparaît comme «à côté et au-dessus de la société civile» (Marx). Sa nature de classe est voilée parce que son apparente neutralité repose sur le camouflage des mécanismes d'extraction de la plus-value. Marx et Engels partent de la définition abstraite de l'Etat, le «capitaliste collectif en idée», pour appréhender le régime politique, lequel représente la forme concrète d'existence de l'Etat. Le régime politique est distinct de l'Etat, mais est en même temps sa forme d'existence concrète. Il est une manifestation de l'Etat, mais n'est pas l'Etat. Il est le résultat de luttes entre les classes et les fractions de classes, tandis que l'Etat résulte des rapports sociaux de la production capitaliste, il «dérive» du capital pour les Etats du centre et de l'économie mondiale pour ceux de la périphérie. C'est ce qui explique les multiples formes d'existence de l'Etat capitaliste, c'est-à-dire la multiplicité des régimes politiques : monarchie constitutionnelle, république, régime présidentiel, dictature militaire, dictature fasciste, etc. L'Etat est le garant du maintien du mode de production capitaliste, de la pénétration de marchandise dans l'ensemble de la société et de la reproduction sociale. Ses interventions se situent par rapport à ces nécessités. C'est pourquoi, il ne saurait se confondre, sauf rarissimes exceptions, avec le capital individuel. S'il est relativement autonome par rapport aux capitalistes et aux différentes classes sociales, il ne l'est pas par rapport au capital dans sa totalité, c'est-à-dire par rapport au mode de production capitaliste. Les auteurs de cet ouvrage reprennent à bras-le-corps la question de l'Etat, la confrontent aux différentes traditions marxistes et discutent de l'approche dite de la «dérivation», une avancée importante dans l'analyse de l'Etat."
"L'Etat capitaliste n'apparaît pas pour ce qu'il est. Sa nature est voilée. Il apparaît comme «à côté et au-dessus de la société civile» (Marx). Sa nature de classe est voilée parce que son apparente neutralité repose sur le camouflage des mécanismes d'extraction de la plus-value. Marx et Engels partent de la définition abstraite de l'Etat, le «capitaliste collectif en idée», pour appréhender le régime politique, lequel représente la forme ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

03.02-68094

Rosny-sous-Bois

"Rédigée par des spécialistes du sujet, cette synthèse fait le point sur la situation économique de l'Amérique latine du XVIe siècle à nos jours pour comprendre l'évolution et le ralentissement actuel de l'économie. En inscrivant cette analyse dans le temps long, les auteurs s'interrogent sur les pistes de développement pour le 3e millémaire."

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

03.02-68095

Paris

"Avec la montée en puissance des économies émergentes, le centre de gravité du monde est en train de basculer. Une nouvelle carte du monde est-elle en train d'apparaître ? Une nouvelle Amérique latine est-elle en train de naître ?
L'Amérique latine change. En effet, qui aurait pu imaginer, il y a quelques décennies, que certains pays latino-américains deviendraient les économies émergentes de demain, capables de réduire leurs retards avec les pays avancés, de leur faire concurrence sur certains marchés, voire réduire, fût-ce légèrement, leurs inégalités de revenus et leur pauvreté ?
Comment penser que certains pays, parmi les plus importants, allaient renouer avec l'exportation de produits primaires, retrouvant ainsi partiellement leur spécialisation internationale de jadis, et attirer à eux les capitaux ?
Ce livre veut comprendre l'Amérique latine à l'aide des expériences asiatiques mais veut aussi éclairer la situation de l'Europe aux prises avec ses dettes souveraines et ses crises. "
"Avec la montée en puissance des économies émergentes, le centre de gravité du monde est en train de basculer. Une nouvelle carte du monde est-elle en train d'apparaître ? Une nouvelle Amérique latine est-elle en train de naître ?
L'Amérique latine change. En effet, qui aurait pu imaginer, il y a quelques décennies, que certains pays latino-américains deviendraient les économies émergentes de demain, capables de réduire leurs retards avec les ...

More

Bookmarks
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

04.04-68251

Broissieux

"Pourquoi la pandémie en Amérique latine ? Le virus SARS-CoV-2 agit sur un « corps déjà malade » d'où un cortège de morts impressionnant. La pandémie atteint l'ensemble de la population. Tous sont certes impactés mais les catégories sociales les plus pauvres, les plus modestes, sont les plus atteintes. Pourquoi écrire sur ce sujet maintenant alors que la pandémie n'est pas terminée ? Déjà le virus mute en un virus politique. L'Histoire n'est pas écrite mais des tendances sont à l'œuvre de manière souterraine, des linéaments, des prémices de bouleversements politiques se font jour. L'apparition d'un populisme d'extrême droite, voire d'un « illibéralisme », menace. Les évangéliques en nombre fortement croissant peuvent en constituer une « armée de l'ombre », propice à leur avènement. Sauf si… Sauf si un renouvellement en profondeur des propositions progressistes est élaboré, tenant compte de l'Histoire telle qu'elle s'est déroulée ces trente dernières années."
"Pourquoi la pandémie en Amérique latine ? Le virus SARS-CoV-2 agit sur un « corps déjà malade » d'où un cortège de morts impressionnant. La pandémie atteint l'ensemble de la population. Tous sont certes impactés mais les catégories sociales les plus pauvres, les plus modestes, sont les plus atteintes. Pourquoi écrire sur ce sujet maintenant alors que la pandémie n'est pas terminée ? Déjà le virus mute en un virus politique. L'Histoire n'est pas ...

More

Bookmarks