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Documents Marquié, Jean-Claude 4 results

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Occupational and Environmental Medicine - vol. 72 n° 4 -

Occupational and Environmental Medicine

"Objectives
Shift work, like chronic jet lag, is known to disrupt workers' normal circadian rhythms and social life, and to be associated with increased health problems (eg, ulcers, cardiovascular disease, metabolic syndrome, breast cancer, reproductive difficulties) and with acute effects on safety and productivity. However, very little is known about the long-term consequences of shift work on cognitive abilities. The aim of this study was to assess the chronicity and reversibility of the effects of shift work on cognition.
Methods
We conducted a prospective cohort study of 3232 employed and retired workers (participation rate: 76%) who were 32, 42, 52 and 62?years old at the time of the first measurement (t1, 1996), and who were seen again 5 (t2) and 10 (t3) years later. 1484 of them had shift work experience at baseline (current or past) and 1635 had not. The main outcome measures were tests of speed and memory, assessed at all three measurement times.
Results
Shift work was associated with impaired cognition. The association was stronger for exposure durations exceeding 10?years (dose effect; cognitive loss equivalent to 6.5?years of age-related decline in the current cohort). The recovery of cognitive functioning after having left shift work took at least 5?years (reversibility).
Conclusions
Shift work chronically impairs cognition, with potentially important safety consequences not only for the individuals concerned, but also for society."
"Objectives
Shift work, like chronic jet lag, is known to disrupt workers' normal circadian rhythms and social life, and to be associated with increased health problems (eg, ulcers, cardiovascular disease, metabolic syndrome, breast cancer, reproductive difficulties) and with acute effects on safety and productivity. However, very little is known about the long-term consequences of shift work on cognitive abilities. The aim of this study was to ...

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Le travail humain - vol. 67 n° 2 -

Le travail humain

"Ce travail examine l'hypothèse d'une relation entre les structures d'âge et les conditions de travail pour une population d'infirmières (N = 846) d'un grand établissement hospitalier (117 unités de soins). Cela a été réalisé en combinant plusieurs analyses. La première repose sur un questionnaire. Elle montre que les unités jeunes sont significativement plus concernées que les unités âgées par certaines contraintes de travail, en particulier les horaires postés en 3 × 8, les exigences psychiques liées à l'état des patients et l'imprévisibilité dans le travail. D'autres analyses, de nature plus démographique, montrent que les infirmières nouvellement recrutées sont très majoritairement affectées dans les unités à structure d'âge jeune, tandis que les infirmières en poste aménagé pour raison médicale se trouvent principalement affectées dans les unités les plus âgées. Une analyse des parcours professionnels des infirmières en poste aménagé, confirme que leur affectation actuelle dans une unité à structure âgée résulte d'une mobilité. L'ensemble des résultats contribue à dessiner un même profil d'unités de soins et de contraintes de travail qui apparaissent comme particulièrement sélectives à l'égard des infirmières vieillissantes et les plus fragilisées en termes de santé. La discussion souligne l'importance, compte tenu du contexte démographique actuel, des mesures visant à améliorer les conditions de travail."
"Ce travail examine l'hypothèse d'une relation entre les structures d'âge et les conditions de travail pour une population d'infirmières (N = 846) d'un grand établissement hospitalier (117 unités de soins). Cela a été réalisé en combinant plusieurs analyses. La première repose sur un questionnaire. Elle montre que les unités jeunes sont significativement plus concernées que les unités âgées par certaines contraintes de travail, en particulier ...

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13.04.4-64379

Editions Octares

"Pourquoi s'intéresser à la pénibilité ? Le mot est aujourd'hui à la mode et dans toutes les bouches, mais qu'apporte-t-il de plus (ou éventuellement qu'occulte-t-il ?) à côté de tous les autres concepts qui renvoient aux effets défavorables du travail sur le bien-être et la santé (stress, souffrance au travail, insatisfaction ou malaise au travail, surcharge, usure, préjudice, risques psychosociaux...) ? Le regain d'intérêt pour cette notion de pénibilité à l'occasion de la réforme des retraites et la place centrale qui lui est faite dans le débat social actuel obligent les chercheurs à se positionner à son égard. Il s'agit de savoir comment la notion de pénibilité est utilisée dans les divers champs disciplinaires qui s'intéressent à la santé au travail, avec quels cadres théoriques et quelles méthodologies. Cela doit non seulement permettre de clarifier le débat public mais doit aussi conduire à établir des passerelles entre les disciplines abordant ces questions de manière trop souvent parallèle. C'est dans cet objectif que des chercheurs toulousains de différentes disciplines (sociologie, sciences de la communication, psychologie, sciences du management, droit, ergonomie, épidémiologie, médecine), mais ayant en commun le domaine de la santé au travail, se sont réunis en séminaire, dans le cadre de l'Institut fédératif d'études et de recherches interdisciplinaires santé société (IFERISS), depuis 2010. Ils livrent ici le regard qu'ils portent sur cette question, avec des points de vue différents mais complémentaires."
"Pourquoi s'intéresser à la pénibilité ? Le mot est aujourd'hui à la mode et dans toutes les bouches, mais qu'apporte-t-il de plus (ou éventuellement qu'occulte-t-il ?) à côté de tous les autres concepts qui renvoient aux effets défavorables du travail sur le bien-être et la santé (stress, souffrance au travail, insatisfaction ou malaise au travail, surcharge, usure, préjudice, risques psychosociaux...) ? Le regain d'intérêt pour cette notion de ...

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